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Le décret anti-immigration signé par Donald Trump fait vivement réagir les opposants du président américain. « La chaîne de cafés Starbucks s'est engagée à recruter 10.000 réfugiés dans les cinq prochaines années. Sont concernées des personnes ayant fui les guerres, les persécutions et les discriminations dans les 75 pays où est présent le groupe américain » raconte Le Figaro . Le PDG de la société Howard Schultz, proche déclaré du camp démocrate a pris la parole pour expliquer qu’il est inquiet des directions prises par la Maison Blanche et qu’il a pris contact avec ses employés ressortissants des pays concernés : Syrie, Libye, Soudan, Iran, Irak, Somalie et Yémen.
« De son côté, Airbnb propose un hébergement gratuit aux personnes affectées, réfugiés comme voyageurs bloqués dans les aéroports par ces restrictions. « Airbnb fournit un hébergement gratuit aux réfugiés et à toute personne interdite d'entrée aux États-Unis», a précisé sur son compte Twitter Brian Chesky, le PDG. « Contactez-moi si vous avez besoin d'hébergement » » raconte le journal. Pour tenir sa promesse l’entreprise a expliqué qu’elle mettrait en marche son programme de catastrophes naturelles.
Les entreprises multinationales américaines n’ont pas caché leur inquiétude face à cette mesure. Concernée parce qu’elles emploient pour la plupart des ressortissants des pays en question, elles ont aussi voulu manifester leur désaccord. « Ainsi, Lyft, le service de réservation de voitures sans chauffeur, dont un des actionnaires est General Motors, a promis de donner 1 million de dollars à l'organisation de défense des droits civiques American Civil Liberties Union (ACLU). Son concurrent Uber s'est engagé à aider les chauffeurs affectés, tandis qu'Elon Musk, PDG de Tesla, a demandé aux abonnés de son compte Twitter de lui faire des suggestions sur des amendements possibles à ce décret » lit-on plus loin.
« De son côté, Airbnb propose un hébergement gratuit aux personnes affectées, réfugiés comme voyageurs bloqués dans les aéroports par ces restrictions. « Airbnb fournit un hébergement gratuit aux réfugiés et à toute personne interdite d'entrée aux États-Unis», a précisé sur son compte Twitter Brian Chesky, le PDG. « Contactez-moi si vous avez besoin d'hébergement » » raconte le journal. Pour tenir sa promesse l’entreprise a expliqué qu’elle mettrait en marche son programme de catastrophes naturelles.
Les entreprises multinationales américaines n’ont pas caché leur inquiétude face à cette mesure. Concernée parce qu’elles emploient pour la plupart des ressortissants des pays en question, elles ont aussi voulu manifester leur désaccord. « Ainsi, Lyft, le service de réservation de voitures sans chauffeur, dont un des actionnaires est General Motors, a promis de donner 1 million de dollars à l'organisation de défense des droits civiques American Civil Liberties Union (ACLU). Son concurrent Uber s'est engagé à aider les chauffeurs affectés, tandis qu'Elon Musk, PDG de Tesla, a demandé aux abonnés de son compte Twitter de lui faire des suggestions sur des amendements possibles à ce décret » lit-on plus loin.