Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Monde, d’après une dépêche AFP, explique que « 6 tonnes de produits contenant notamment des composés cyanurés ‘hautement toxiques’ ont été découverts lors d’une perquisition lundi dans une petite entreprise à Feuquières-en-Vimeu, près d’Abbeville, dans la Somme. »
L’article ajoute qu’au-delà de cette pollution, « c’est une histoire morbide qui se dessine » puisque le fils du gérant d’une « TPE de douze personnes s’est donné la mort jeudi 21 avril, mettant son geste en relation avec la procédure judiciaire ouverte par le parquet dans le cadre de cette affaire. »
Cette entreprise est ainsi soupçonnée « d’être responsable d’une pollution des sols », selon les informations annoncées par la préfecture. Cependant, « pour l’instant, il n’y a pas d’inquiétude à avoir pour la population ».
L’article ajoute qu’au-delà de cette pollution, « c’est une histoire morbide qui se dessine » puisque le fils du gérant d’une « TPE de douze personnes s’est donné la mort jeudi 21 avril, mettant son geste en relation avec la procédure judiciaire ouverte par le parquet dans le cadre de cette affaire. »
Cette entreprise est ainsi soupçonnée « d’être responsable d’une pollution des sols », selon les informations annoncées par la préfecture. Cependant, « pour l’instant, il n’y a pas d’inquiétude à avoir pour la population ».
Plusieurs plaintes successives
L’article du Monde souligne que cette société, dénommée Eclachrome, « qui fabrique des revêtements de pièces métalliques dans une zone d’activités en bordure de la commune, faisait l’objet de contrôles de la Dreal (direction régionale de l’environnement) depuis 2011 », selon les informations d’un communiqué préfectoral.
Après le « constat de multiples épisodes de pollution des eaux au sein du réseau communal des eaux usées, la communauté de communes avait déposé plusieurs plaintes successives, conduisant le parquet à ouvrir une enquête en octobre 2015 pour rechercher la source de ces pollutions », selon les informations de la préfecture.
Le communiqué ajoute que « c’est à ce titre, et sous l’autorité du procureur que les gendarmes, assistés de techniciens de la Dréal, ont procédé à une perquisition de cette entreprise le 18 avril. »
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.
Après le « constat de multiples épisodes de pollution des eaux au sein du réseau communal des eaux usées, la communauté de communes avait déposé plusieurs plaintes successives, conduisant le parquet à ouvrir une enquête en octobre 2015 pour rechercher la source de ces pollutions », selon les informations de la préfecture.
Le communiqué ajoute que « c’est à ce titre, et sous l’autorité du procureur que les gendarmes, assistés de techniciens de la Dréal, ont procédé à une perquisition de cette entreprise le 18 avril. »
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