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C’est le défi environnemental de ce début de siècle. Des téléphones de plus en plus complexes, des technologies qui évoluent très vite et des composants constitués à partir de ressources limitées. Le tout dans un contexte où le recyclage de ces appareils a encore beaucoup de progrès à faire.
Une enquête commandée par la société de recyclage Volpy et réalisée par OpinionWay s’intéresse à la relation des Français avec leurs téléphones connectés. « Le téléphone fait désormais partie intégrante de nos vies, et plus encore le smartphone, véritable prolongement numérique de notre main. Il a notamment remplacé beaucoup d’objets du quotidien, relégués au rang de relique des temps anciens, comme le réveil matin (39 %), l’appareil photo (34 %), la montre (34 %) ou encore le téléphone fixe (29 %) et l’agenda (25 %) » écrit Le Journal du Geek qui s’est penché sur le sujet.
Plus percutant, il semble que les pratiques ne soient influencées qu’à la marge par la sensibilisation sur les effets sur l’environnement d’une consommation non responsable des téléphones. « La greffe a si bien pris que les Français, pourtant conscients à 67 % du caractère « polluant » de leur terminal mobile (74 % chez les 18-24 ans), ont bien du mal à s’en défaire. Que ce soit pour le réparer ou le recycler. Néanmoins, lorsqu’il s’agit d’usages, la fracture entre ancienne et nouvelle génération est bien visible » lit-on plus loin. En effet, les personnes les plus jeunes font plus réparer leur téléphones (notamment les écrans cassés) que les plus de cinquante ans : 62% contre 24% à le faire.
Une donnée de l’enquête permet aussi de comprendre que les fabricants ne soient pas plus sous pression alors que les pratiques d’obsolescences programmées se multiplient. Seulement 21% des personnes interrogées disent privilégier l’aspect solide de leur téléphone alors que la moitié s’intéresse surtout au rapport qualité prix.
Une enquête commandée par la société de recyclage Volpy et réalisée par OpinionWay s’intéresse à la relation des Français avec leurs téléphones connectés. « Le téléphone fait désormais partie intégrante de nos vies, et plus encore le smartphone, véritable prolongement numérique de notre main. Il a notamment remplacé beaucoup d’objets du quotidien, relégués au rang de relique des temps anciens, comme le réveil matin (39 %), l’appareil photo (34 %), la montre (34 %) ou encore le téléphone fixe (29 %) et l’agenda (25 %) » écrit Le Journal du Geek qui s’est penché sur le sujet.
Plus percutant, il semble que les pratiques ne soient influencées qu’à la marge par la sensibilisation sur les effets sur l’environnement d’une consommation non responsable des téléphones. « La greffe a si bien pris que les Français, pourtant conscients à 67 % du caractère « polluant » de leur terminal mobile (74 % chez les 18-24 ans), ont bien du mal à s’en défaire. Que ce soit pour le réparer ou le recycler. Néanmoins, lorsqu’il s’agit d’usages, la fracture entre ancienne et nouvelle génération est bien visible » lit-on plus loin. En effet, les personnes les plus jeunes font plus réparer leur téléphones (notamment les écrans cassés) que les plus de cinquante ans : 62% contre 24% à le faire.
Une donnée de l’enquête permet aussi de comprendre que les fabricants ne soient pas plus sous pression alors que les pratiques d’obsolescences programmées se multiplient. Seulement 21% des personnes interrogées disent privilégier l’aspect solide de leur téléphone alors que la moitié s’intéresse surtout au rapport qualité prix.