Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Point, d'après une dépêche AFP, explique que "l'organisation relève que 8,2 millions de décès à la suite de maladies non transmissibles sont attribuables à la pollution de l'air."
L'article ajoute qu'"il s'agit notamment des AVC, des maladies cardiaques, des cancers et des maladies respiratoires. Les traumatismes non intentionnels, comme les accidents de la circulation, sont aussi classés par l'OMS dans les pathologies liées à l'environnement et représentaient 1,7 million de décès en 2012."
La solution ? "Une meilleure gestion de l'environnement"
Dans son rapport, l'OMS considère aussi que "les accidents de la circulation sont liés à l'environnement, car, selon elle, les accidents sont souvent provoqués par le mauvais état des routes." L'article ajoute que l'organisation "considère aussi que les diarrhées, qui occupent la 6e place dans la liste des 10 maladies recensées par l'OMS, sont souvent induites par un mauvais réseau sanitaire, ce qui cause 846 000 décès par an."
En outre, les "'traumatismes volontaires', dont font partie les suicides, sont la 10e cause de décès liés à l'environnement. Pour l'OMS, certains suicides sont provoqués par un accès à des produits toxiques, tels que des pesticides, donc liés à l'environnement." Pour l'organisation internationale, "une meilleure gestion de l'environnement permettrait de sauver chaque année 1,7 million d'enfants de moins de 5 ans et 4,9 millions de personnes âgées."
Le Dr Maria Neira, directrice du département de santé publique, constate : '"En 2002, nous avions à peu près 25 % des décès dans le monde dus à l'environnement ; aujourd'hui, c'est 23 %, c'est un peu moins, mais comme la population a augmenté en 10 ans, le chiffre final reste élevé."
L'article du Point ajoute que "c'est en Asie du Sud-Est qu'il y a le plus de décès provoqués par l'environnement, avec un total de 3,8 millions. En deuxième position figure la région Pacifique (3,5 millions), suivie par la région Afrique (2,2 millions), l'Europe (1,4 million), le Moyen-Orient (854 000) et l'Amérique (847 000)."
Afin de remédier à cette situation, l'OMS met en avant plusieurs solutions : "réduire les émissions de carbone, développer les transports collectifs, améliorer le réseau sanitaire, changer les modes de consommation pour utiliser moins de produits chimiques, se protéger du soleil, et imposer des interdictions de fumer."
Lire l'intégralité de l'article du Point ici.
En outre, les "'traumatismes volontaires', dont font partie les suicides, sont la 10e cause de décès liés à l'environnement. Pour l'OMS, certains suicides sont provoqués par un accès à des produits toxiques, tels que des pesticides, donc liés à l'environnement." Pour l'organisation internationale, "une meilleure gestion de l'environnement permettrait de sauver chaque année 1,7 million d'enfants de moins de 5 ans et 4,9 millions de personnes âgées."
Le Dr Maria Neira, directrice du département de santé publique, constate : '"En 2002, nous avions à peu près 25 % des décès dans le monde dus à l'environnement ; aujourd'hui, c'est 23 %, c'est un peu moins, mais comme la population a augmenté en 10 ans, le chiffre final reste élevé."
L'article du Point ajoute que "c'est en Asie du Sud-Est qu'il y a le plus de décès provoqués par l'environnement, avec un total de 3,8 millions. En deuxième position figure la région Pacifique (3,5 millions), suivie par la région Afrique (2,2 millions), l'Europe (1,4 million), le Moyen-Orient (854 000) et l'Amérique (847 000)."
Afin de remédier à cette situation, l'OMS met en avant plusieurs solutions : "réduire les émissions de carbone, développer les transports collectifs, améliorer le réseau sanitaire, changer les modes de consommation pour utiliser moins de produits chimiques, se protéger du soleil, et imposer des interdictions de fumer."
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