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Un article en ligne du journal La Dépêche explique que ces "agents environnementaux seraient impliqués dans la survenue d’au moins 9 types de cancers." Ainsi, l'article met en exergue un plan destiné à "mieux prévenir et améliorer la prise en charge de ceux liés à la pollution de l’air." Ce plan, c'est la Fondation ARC qui l'a mis en place : il s'agit de "Canc’Air", "un appel à projet lancé en 2015 afin d’étudier la survenue de cancers liés à l’exposition à des polluants atmosphériques."
L'article de La Dépêche explique que la "Fondation ARC vient de sélectionner quatre équipes françaises qui conduisent des travaux sur l’épidémiologie des cancers et l’exploration des mécanismes de la cancérogénèse."
L'article de La Dépêche explique que la "Fondation ARC vient de sélectionner quatre équipes françaises qui conduisent des travaux sur l’épidémiologie des cancers et l’exploration des mécanismes de la cancérogénèse."
"Pour prévenir, il faut comprendre"
En effet, avec environ "3,6 millions d’euros" engagés auprès de quatre travaux principaux, la fondation espère faire la différence. En effet, la fondation travaille d'abord avec "l’observatoire OCAPOL, à Villejuif, qui croise les données de santé de 200 000 personnes et celles relatives à leur lieux d’habitation." Ensuite, elle développe son projet avec les travaux du Dr Pascal Guénel, également basé à Villejuif, "sur le lien entre pollution atmosphérique et risque de cancer du sein."
La fondation étudie également "l’interaction entre l’exposition aux polluants de l’air et les facteurs de prédisposition génétiques individuels" grâce à "l'étude Genexposomics, dirigée par le Pr Paul Hofman à Nice." Enfin, quatrième et dernier axe de son travail, "l'étude du Dr Béatrice Fervers, à Lyon, sur les liens entre l’exposition aux perturbateurs endocriniens et le développement des cancers du sein."
La fondation étudie également "l’interaction entre l’exposition aux polluants de l’air et les facteurs de prédisposition génétiques individuels" grâce à "l'étude Genexposomics, dirigée par le Pr Paul Hofman à Nice." Enfin, quatrième et dernier axe de son travail, "l'étude du Dr Béatrice Fervers, à Lyon, sur les liens entre l’exposition aux perturbateurs endocriniens et le développement des cancers du sein."
Axelle Davezac, directrice générale de la Fondation ARC, précise : "la prévention des cancers est, pour nous, un axe stratégique de recherche important", ajoutant qu'"on sait que 40% des cancers pourraient être évités, selon les estimations établies par l’OMS en 2012. Mais pour prévenir, il faut comprendre."
Lire l'intégralité de l'article de La Dépêche ici.
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