Permettant la gestion intelligente des espaces partagés en entreprise – parking, bureaux, cantines…-, Sharvy a déjà séduit des grands comptes tels que Vinci, JC Decaux, Nestlé, Ralph Lauren ou Onet … Elle est déjà utilisée quotidiennement par 50 000 personnes.
Sharvy se propose comme un moyen d’actions opérationnel, en faisant de l’accès au parking de l’entreprise, un moyen de régulation du transport individuel. L’application digitale peut en effet favoriser les adeptes des transports doux, c’est-à-dire, les collaborateurs qui pratiquent le covoiturage, ceux qui utilisent les voitures électriques ou hydrides, ceux qui prennent le vélo de temps à autres, ceux qui ont eu droit à une prime mobilité ou de covoiturage, etc.
« Sharvy élargit ainsi sa vocation en devenant un outil au service du Plan de Mobilité de l’entreprise. L’algorithme de Sharvy attribue les places de parking, selon des règles ajustables. Typiquement, on nous demande de prendre en compte les données issues d’appli de covoiturage pour favoriser, sur l’accès au parking, les covoitureurs, plutôt que les autosolistes… », explique Stéphane Seigneurin, CEO de Sharvy.
Partage de la data pour enrichir les calculs de l’algorithme
L’algorithme de Sharvy a élargi ses bases de calculs.
Il tient toujours compte de l’Equité pour distribuer les places de parking entre les collaborateurs. Mais il traite maintenant aussi de la Responsabilité, du point de vue des habitudes individuelles de transport. Grâce à son interfaçage avec beaucoup d’appli et logiciels – covoiturage, recharge de bornes, déverrouillage du local vélo, SIRH…- , Sharvy récupère et traite des données de plus en plus riches. Son algorithme d’attribution des places de parking peut tenir compte de dizaines de critères, et la pratique du covoiturage, le type de motorisation peuvent devenir des critères préférentiels pour l’accès au parking, si l’entreprise le souhaite.
« Le mouvement de réduction des tailles des parkings, comme d’amélioration de la QVT, ne sont pas près de s’arrêter. Et Sharvy continuera à répondre à sa première vocation d’optimisation de l’espace au service de tous. Mais, on voit bien que notre utilité a dépassé largement l’optimisation de l’espace, nous sommes devenus un outil de pilotage de la décarbonation ! », se réjouit Stéphane Seigneurin.
Qui est SHARVY ? Sharvy, un jeu de Tetris grandeur nature devenu une success story 2018 : Sharvy à l’origine, c’était une simple appli de distribution des places de parking à la demande. Un jeu de puzzle en mode dynamique… L’idée était inédite, les centres villes saturés, et la promesse de gagner 30% de capacité, avec un algorithme tirant parti des absences du site d’une partie des équipes, a tout de suite rencontré de l’intérêt. Les décideurs découvraient une martingale inespérée : alléger leurs charges tout en apportant une meilleure qualité de vie au travail, ceux qui venaient au bureau en voiture avaient réservé à l’avance leur place, et arrivaient plus sereins sans s’inquiéter d’une éventuelle saturation du parking.
La start-up Sharvy connait alors un rythme de croissance soutenu avec des clients français et internationaux. Chez bon nombre de early adopters, c’est un déménagement qui réduit le nombre de places de parkings disponibles, qui sonne l’alerte. Sharvy est une approche nouvelle, fait baisser le niveau de stress et les inconvénients liés au changement de site parmi les équipes. L’appli digitale est conviviale et colle avec l’air du temps, on a tous un smartphone dans la poche, l’habitude de réserver en 2 clics, un repas, un taxi, un séjour….
2021 : Quand la crise COVID, le télétravail forcé, puis le flex-office ont vidé une partie des bureaux, et donc des parking, Sharvy a fait plus d’adeptes encore. On économisait sur les frais de location des parkings, et on apportait un nouveau service aux salariés pour leur donner envie de retrouver le chemin des bureaux. La disparition des places réservées, continuait à propager un esprit de solidarité dans l’organisation… Sharvy remplaçait la notion de places attribuées d’office ou de « passe-droit » par des règles de bon sens, avec des priorisations sélectives en faveur, par exemple, des collaborateurs qui habitaient loin dans des zones mal desservies par les transports en commun, des parents de jeunes enfants, etc…Et tout cela allait dans le sens de l’amélioration de la Qualité de Vie au Travail et des engagements RSE.
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SHARVY, la start-up qui aide à réduire l’impact carbone de la mobilité
Partenaire
11/12/2023
Face à l’urgence climatique et pour améliorer leur bilan carbone, les entreprises envisagent d’agir non seulement sur leur propre parc de véhicules et les déplacements professionnels (autopartage, électrification, rationalisation…), mais elles veulent aussi influencer les déplacements pendulaires, les trajets domicile/travail. Elles cherchent à favoriser tous les déplacements « doux » : le covoiturage, le vélo et la trottinette, les transports en commun, les véhicules électriques….
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