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Les baisses de la consommation d’électricité ont mis en valeur le renouvelable. Lorsque des baisses de 15 et 20% ont été enregistrées, la part des énergies vertes augmente : « elle a par exemple été de 35 % en moyenne le 29 mars –, en raison de la priorisation de ces sources d’énergie dans les réseaux et de bonnes conditions météorologiques. « Nous pouvons nous féliciter de la preuve grandeur nature que la stabilité du réseau électrique peut être garantie avec une part significative d’énergie renouvelable », a d’ailleurs salué, le 30 avril, la ministre de la transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne » rapporte Le Monde.
Le renouvelable a tenu bon pendant le confinement mais les chantiers en cours se sont arrêtés. Et pour les représentants du secteur, il est grand temps de lancer un plan ambitieux pour les prochaines années en profitant des investissements massifs qui s’annoncent. « La PPE prévoit que l’électricité issue des renouvelables (hydroélectricité, éoliennes terrestres, photovoltaïque, bioénergies, éoliennes en mer et énergies marines renouvelables) représente 27 % du mix énergétique (155 térawatts-heure) en 2023 et entre 33 % et 36 % (210 à 227 TWh) en 2028. Fin décembre 2019, la puissance du parc n’était que de 53,6 gigawatts et avait couvert 23 % de l’électricité consommée l’an dernier » rappelle le quotidien.
« Pour se donner une chance de rattraper le retard, les acteurs du secteur font pression afin que leurs propositions soient jugées encore plus prioritaires qu’avant la crise et intégrées aux plans de relance. Concernant l’éolien, FEE appelle notamment à la levée de certaines contraintes – par exemple liées à l’existence de couloirs aériens pour l’armée – afin d’avoir une meilleure répartition des parcs sur le territoire, et à respecter le rythme des appels d’offres et des délais d’instruction des dossiers » lit-on plus loin. Un plan de relance sans renouvelable au cœur serait une occasion manquée, plaident les représentants des filières.
Le renouvelable a tenu bon pendant le confinement mais les chantiers en cours se sont arrêtés. Et pour les représentants du secteur, il est grand temps de lancer un plan ambitieux pour les prochaines années en profitant des investissements massifs qui s’annoncent. « La PPE prévoit que l’électricité issue des renouvelables (hydroélectricité, éoliennes terrestres, photovoltaïque, bioénergies, éoliennes en mer et énergies marines renouvelables) représente 27 % du mix énergétique (155 térawatts-heure) en 2023 et entre 33 % et 36 % (210 à 227 TWh) en 2028. Fin décembre 2019, la puissance du parc n’était que de 53,6 gigawatts et avait couvert 23 % de l’électricité consommée l’an dernier » rappelle le quotidien.
« Pour se donner une chance de rattraper le retard, les acteurs du secteur font pression afin que leurs propositions soient jugées encore plus prioritaires qu’avant la crise et intégrées aux plans de relance. Concernant l’éolien, FEE appelle notamment à la levée de certaines contraintes – par exemple liées à l’existence de couloirs aériens pour l’armée – afin d’avoir une meilleure répartition des parcs sur le territoire, et à respecter le rythme des appels d’offres et des délais d’instruction des dossiers » lit-on plus loin. Un plan de relance sans renouvelable au cœur serait une occasion manquée, plaident les représentants des filières.