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Le déroute du groupe Bolloré n’est pas synonyme de la disparition des voitures électriques en libre accès à Paris. Quand la Mairie de Paris dénonce le contrat avec le groupe du milliardaire breton et annonce un appel d’offres, les observateurs faisaient la moue. Qui serait tenté par la reprise d’un service qui, après son lancement en grandes pompes, a cumulé un déficit abyssal de 300 millions d’euros ?
Pourtant un communiqué de la ville annonce que la maire de Paris et des responsables du constructeur Renault vont collaborer. Dans les tuyaux, les nouveaux partenaires annoncent « l'émergence de nouveaux services de véhicules électriques pour les Parisiens, les Franciliens et les visiteurs. »
« Pionnier des automobiles électriques grand public avec son partenaire Nissan, Renault possède quatre modèles de voitures particulières et utilitaires «zéro émission» dans sa gamme, en particulier la ZOE, numéro un des ventes de la catégorie en France. Le constructeur, qui a annoncé le 14 juin un investissement de «plus d'un milliard d'euros» en France d'ici à 2022 pour le développement et la production de véhicules électriques, gère en outre déjà un service d'autopartage sous la marque Renault Mobility » contextualise Le Figaro .
Le nouveau projet devrait être celui du partage en libre-service et non le principe de bornes. Une idée qui devrait permettre d’atteindre un nombre beaucoup plus important de véhicules, de l’ordre de 20 000 contre les 4 000 Autolib’. En échange d’une contribution annuelle du gestionnaire de la flotte à la mairie – de l’ordre de quelques centaines d’euros – les véhicules électriques pourront se garer gratuitement partout dans la ville.
« De son côté, le groupe concurrent PSA a indiqué mardi qu'il prévoyait de lancer son propre service d'autopartage à Paris au troisième trimestre 2018, sous la marque Free2Move, avec dans un premier temps 500 véhicules électriques Peugeot et Citroën. Cette marque lancée en 2016 compte aujourd'hui «plus d'un million de clients dans le monde avec une flotte de plus de 65.000 véhicules déployée dans 10 pays», a souligné PSA dans un communiqué » nous apprend par ailleurs Le Figaro. Moins risqué pour la mairie, ce mode de fonctionnement est en plus beaucoup plus pratique et flexible pour les utilisateurs. Les questions du prix à débourser par les utilisateurs et la recharge des batteries seront aussi des arguments fondamentaux.
Pourtant un communiqué de la ville annonce que la maire de Paris et des responsables du constructeur Renault vont collaborer. Dans les tuyaux, les nouveaux partenaires annoncent « l'émergence de nouveaux services de véhicules électriques pour les Parisiens, les Franciliens et les visiteurs. »
« Pionnier des automobiles électriques grand public avec son partenaire Nissan, Renault possède quatre modèles de voitures particulières et utilitaires «zéro émission» dans sa gamme, en particulier la ZOE, numéro un des ventes de la catégorie en France. Le constructeur, qui a annoncé le 14 juin un investissement de «plus d'un milliard d'euros» en France d'ici à 2022 pour le développement et la production de véhicules électriques, gère en outre déjà un service d'autopartage sous la marque Renault Mobility » contextualise Le Figaro .
Le nouveau projet devrait être celui du partage en libre-service et non le principe de bornes. Une idée qui devrait permettre d’atteindre un nombre beaucoup plus important de véhicules, de l’ordre de 20 000 contre les 4 000 Autolib’. En échange d’une contribution annuelle du gestionnaire de la flotte à la mairie – de l’ordre de quelques centaines d’euros – les véhicules électriques pourront se garer gratuitement partout dans la ville.
« De son côté, le groupe concurrent PSA a indiqué mardi qu'il prévoyait de lancer son propre service d'autopartage à Paris au troisième trimestre 2018, sous la marque Free2Move, avec dans un premier temps 500 véhicules électriques Peugeot et Citroën. Cette marque lancée en 2016 compte aujourd'hui «plus d'un million de clients dans le monde avec une flotte de plus de 65.000 véhicules déployée dans 10 pays», a souligné PSA dans un communiqué » nous apprend par ailleurs Le Figaro. Moins risqué pour la mairie, ce mode de fonctionnement est en plus beaucoup plus pratique et flexible pour les utilisateurs. Les questions du prix à débourser par les utilisateurs et la recharge des batteries seront aussi des arguments fondamentaux.