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La durabilité d’un véhicule est clé pour son impact écologique. Raison pour laquelle il est urgent d’apporter un peu de nuance dans le discours très répandu de remplacement du parc automobile encouragé par les primes à la casse.
Dans un article complet, 20 Minutes, souligne la limite de l’approche constituant à limiter les zones d’accès des véhicules anciens dans certaines villes. « De fait, dans ces zones, seules les voitures qui répondent à des normes écologiques très récentes (majoritairement électriques ou hybrides) seront autorisées à circuler. Nous assistons dès lors à une épuration de grande ampleur du parc automobile, qui traduit une conception pour le moins enchantée des mobilités électriques présentées comme salvatrices. Cette vision fait reposer le problème de la pollution de l’air sur les usagers de voitures qui, parce que trop anciennes, ne répondent plus aux exigences actuelles en matière d'émissions polluantes, soit celles disposant d’un moteur thermique et construites avant les années 2010 », explique l’article.
S’appuyant sur un travail universitaire, le quotidien gratuit explique que l’utilisation d’objets anciens – y compris des voitures – est parfois motivé par une logique fondamentalement durable qui consiste à se contenter d’une voiture qui vieillit plutôt que de céder aux sirènes de la consommation. Et ce d’autant plus que les avancées technologiques diminuent de plus en plus la durée de pertinence des équipements d’un véhicule neuf. « Elles sont aussi plus exigeantes à conduire, ce qui sollicite davantage ses cinq sens. Par exemple, elles ne bénéficient pas de régulateurs de vitesse, d’aide au freinage d’urgence, ni même parfois de direction assistée, ce qui complique particulièrement les manœuvres. Parce qu’elles se trouvent à l’opposé des impératifs d’efficacité, de telles voitures deviennent l’outil idéal pour tenir à distance un sentiment d’accélération qui caractérise notre époque, en s’immergeant dans des mobilités « douces » car convoquant un imaginaire du voyage, empreint de lenteur et de contemplation », explique 20 Minutes.
Retrouver ici en intégralité l’article de 20 Minutes
Dans un article complet, 20 Minutes, souligne la limite de l’approche constituant à limiter les zones d’accès des véhicules anciens dans certaines villes. « De fait, dans ces zones, seules les voitures qui répondent à des normes écologiques très récentes (majoritairement électriques ou hybrides) seront autorisées à circuler. Nous assistons dès lors à une épuration de grande ampleur du parc automobile, qui traduit une conception pour le moins enchantée des mobilités électriques présentées comme salvatrices. Cette vision fait reposer le problème de la pollution de l’air sur les usagers de voitures qui, parce que trop anciennes, ne répondent plus aux exigences actuelles en matière d'émissions polluantes, soit celles disposant d’un moteur thermique et construites avant les années 2010 », explique l’article.
S’appuyant sur un travail universitaire, le quotidien gratuit explique que l’utilisation d’objets anciens – y compris des voitures – est parfois motivé par une logique fondamentalement durable qui consiste à se contenter d’une voiture qui vieillit plutôt que de céder aux sirènes de la consommation. Et ce d’autant plus que les avancées technologiques diminuent de plus en plus la durée de pertinence des équipements d’un véhicule neuf. « Elles sont aussi plus exigeantes à conduire, ce qui sollicite davantage ses cinq sens. Par exemple, elles ne bénéficient pas de régulateurs de vitesse, d’aide au freinage d’urgence, ni même parfois de direction assistée, ce qui complique particulièrement les manœuvres. Parce qu’elles se trouvent à l’opposé des impératifs d’efficacité, de telles voitures deviennent l’outil idéal pour tenir à distance un sentiment d’accélération qui caractérise notre époque, en s’immergeant dans des mobilités « douces » car convoquant un imaginaire du voyage, empreint de lenteur et de contemplation », explique 20 Minutes.
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