Un article en ligne du journal 20Minutes, d'après une dépêche AFP, revient sur les déclarations de Ségolène Royal qui a affirmé à l’AFP : « Je désapprouve cette décision, je n’ai pas du tout changé d’avis, je pense que c’est une mauvaise décision qui est essentiellement suscitée par le chantage à l’emploi. »
La toxicité des boues rouges dénoncées
L’article explique ainsi que « le préfet a autorisé la poursuite d’activité de l’industriel Altéo et le rejet en mer, pour 6 ans, d’effluents résultant de la production d’alumine, en plein cœur du Parc national des Calanques », ajoutant que « plusieurs associations de défense de l’environnement et de riverains dénoncent la toxicité de ces boues rouges. »
Pour la ministre de l’Environnement, « il aurait fallu avoir le courage d’imposer à l’entreprise une mutation du site et une dépollution ; là, l’entreprise a obtenu une dérogation pour continuer à polluer. » Elle espère donc « qu’il y aura des recours pour que toute la clarté soit faite ».
Elle a ajouté que « les dernières enquêtes de l’Agence française de sécurité alimentaire et sanitaire (Anses) publiées il y a quelques jours ont bien montré qu’à l’endroit des rejets, il y avait une contamination beaucoup plus forte, notamment en mercure. » Elle a également précisé que « l’entreprise bénéficie d’exonérations de paiement des taxes de pollution, ce qui représente un cadeau de dix millions d’euros tous les ans, ainsi que de subventions publiques. »
La ministre a conclue ses déclarations en rappelant qu’« à la Conférence de Paris sur le climat (COP21) qui s’est tenue il y a quelques semaines, on a fait inscrire un sujet sur l’océan, on a posé la problématique de la gravité des pollutions dans la mer . »
Lire l'intégralité de l'article de 20Minutes ici.
Pour la ministre de l’Environnement, « il aurait fallu avoir le courage d’imposer à l’entreprise une mutation du site et une dépollution ; là, l’entreprise a obtenu une dérogation pour continuer à polluer. » Elle espère donc « qu’il y aura des recours pour que toute la clarté soit faite ».
Elle a ajouté que « les dernières enquêtes de l’Agence française de sécurité alimentaire et sanitaire (Anses) publiées il y a quelques jours ont bien montré qu’à l’endroit des rejets, il y avait une contamination beaucoup plus forte, notamment en mercure. » Elle a également précisé que « l’entreprise bénéficie d’exonérations de paiement des taxes de pollution, ce qui représente un cadeau de dix millions d’euros tous les ans, ainsi que de subventions publiques. »
La ministre a conclue ses déclarations en rappelant qu’« à la Conférence de Paris sur le climat (COP21) qui s’est tenue il y a quelques semaines, on a fait inscrire un sujet sur l’océan, on a posé la problématique de la gravité des pollutions dans la mer . »
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