Source : Pixabay, image libre de droits.
Environ 70 tortues sont nées entre 2013 et 2014, les y précéderont et rejoindront la centaine de tortues déjà relâchées en Savoie, selon un programme de réintroduction organisé.
Un communiqué du Museum d’Histoire naturelle français revient sur ce succès.
Le communiqué explique d’abord que « l'espèce avait disparu en Savoie depuis la fin du XIX° siècle. C'est pourquoi une population de 35 individus adultes, prélevés en Brenne, a été réintroduite en 2000 au sud du lac du Bourget. En 2009, un deuxième noyau de 24 tortues juvéniles, issu de pontes prélevées en milieu naturel, a été relâché au nord du lac. A terme, le projet a pour ambition la connexion entre les populations savoyardes et celles de de l'Isère, via le bassin versant du Rhône. »
Les premières réintroductions don parle le communiqué du musée « ont permis de vérifier la capacité d'adaptation et de reproduction de l'espèce dans les zones de lâchés. Impliquée dans ce projet depuis sa mise en place, la Réserve de la Haute Touche a créé en 2008 une nurserie et des bassins d'élevage, dans l'objectif d'optimiser l'élevage des cistudes présentes au parc et de répondre ainsi aux besoins du programme en évitant les prélèvements en milieu naturel. » Le communiqué ajoute : « Les jeunes tortues sont élevées en milieu protégé pendant les trois à quatre premières années de leur vie. Ceci permet aux cistudes d'atteindre une taille suffisante pour résister à la majorité de leurs prédateurs et ainsi, optimiser les chances de survie et d'expansion des populations réintroduites. »
Le Musée d’Histoire naturelle poursuit, en expliquant « plusieurs parcs zoologiques, membres de l'Association Française des Parcs Zoologiques (AFdPZ) se coordonnent pour permettre la réalisation des programmes de réintroduction dans l'est de la France : la Ferme aux crocodiles, Zoodyssée, le Parc de Branféré, le Zoo de Mulhouse, le Parc Zoologique de Paris, le parc de Sainte Croix et la Réserve de la Haute touche échangent savoir-faire et animaux dans l'objectif de constituer des groupes reproducteurs et produire l'effectif nécessaire au succès des deux programmes français actuellement en cours : l'un au lac du Bourget en Savoie, le second en Petite Camargue alsacienne. »
Les premières réintroductions don parle le communiqué du musée « ont permis de vérifier la capacité d'adaptation et de reproduction de l'espèce dans les zones de lâchés. Impliquée dans ce projet depuis sa mise en place, la Réserve de la Haute Touche a créé en 2008 une nurserie et des bassins d'élevage, dans l'objectif d'optimiser l'élevage des cistudes présentes au parc et de répondre ainsi aux besoins du programme en évitant les prélèvements en milieu naturel. » Le communiqué ajoute : « Les jeunes tortues sont élevées en milieu protégé pendant les trois à quatre premières années de leur vie. Ceci permet aux cistudes d'atteindre une taille suffisante pour résister à la majorité de leurs prédateurs et ainsi, optimiser les chances de survie et d'expansion des populations réintroduites. »
Le Musée d’Histoire naturelle poursuit, en expliquant « plusieurs parcs zoologiques, membres de l'Association Française des Parcs Zoologiques (AFdPZ) se coordonnent pour permettre la réalisation des programmes de réintroduction dans l'est de la France : la Ferme aux crocodiles, Zoodyssée, le Parc de Branféré, le Zoo de Mulhouse, le Parc Zoologique de Paris, le parc de Sainte Croix et la Réserve de la Haute touche échangent savoir-faire et animaux dans l'objectif de constituer des groupes reproducteurs et produire l'effectif nécessaire au succès des deux programmes français actuellement en cours : l'un au lac du Bourget en Savoie, le second en Petite Camargue alsacienne. »