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C’est mieux que rien mais ce n’est clairement pas assez. Le WWF vient de publier les conclusions d’une étude sur les engagements des dix premières métropoles françaises pour arriver à la neutralité carbone. Malgré des efforts certains, le rapport montre surtout que ce n’est pas assez pour espérer contenir le réchauffement climatique en dessous de 2°C.
« ll y a un an, la France se dotait d'un Plan Climat visant à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, en lien avec l'Accord de Paris. Pour mettre en œuvre cet objectif ambitieux, les villes françaises, qui représentent 80% de la population totale et 67% des émissions de gaz à effet de serre (GES) sont des acteurs incontournables. Or, leurs engagements ne sont aujourd'hui pas à la hauteur pour réussir à contenir le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C » résume le WWF.
Le constat est d’autant plus décevant que ces dix métropoles à elles-seules représentent près de 70% des émissions de gaz à effet de serre de tout le pays. « L'étude montre qu'au rythme actuel les métropoles auront consommé en 13 ans l'intégralité de leur budget carbone permettant de contenir le réchauffement climatique en-dessous de 2°C et en 5 ans seulement à 1,5°C. Même en respectant les objectifs qu'elles se sont déjà fixés, leur budget carbone devrait être entièrement consommé entre 2025 et 2044. Au niveau national, la France aura consommé ce budget carbone en 2028, d'ici 10 ans seulement. »
La bonne tendance de la plupart de ces ensembles urbains doit donc être non seulement mais confirmée et accélérée. « L'enjeu est certes considérable, mais des solutions concrètes pour relever le défi climatique existent et peuvent être adoptées à court terme : développer les énergies renouvelables, le vélo et les zones à faibles émissions, amplifier la rénovation du parc bâti, favoriser l'évolution des pratiques agricoles et alimentaires ou encore développer l'économie circulaire, pour ne citer que quelques exemples. Plusieurs métropoles ont d'ores et déjà fixé des caps ambitieux vers la neutralité carbone ou le 100% renouvelables. Reste maintenant à définir le chemin pour y parvenir » ajoute le WWF.
« ll y a un an, la France se dotait d'un Plan Climat visant à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, en lien avec l'Accord de Paris. Pour mettre en œuvre cet objectif ambitieux, les villes françaises, qui représentent 80% de la population totale et 67% des émissions de gaz à effet de serre (GES) sont des acteurs incontournables. Or, leurs engagements ne sont aujourd'hui pas à la hauteur pour réussir à contenir le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C » résume le WWF.
Le constat est d’autant plus décevant que ces dix métropoles à elles-seules représentent près de 70% des émissions de gaz à effet de serre de tout le pays. « L'étude montre qu'au rythme actuel les métropoles auront consommé en 13 ans l'intégralité de leur budget carbone permettant de contenir le réchauffement climatique en-dessous de 2°C et en 5 ans seulement à 1,5°C. Même en respectant les objectifs qu'elles se sont déjà fixés, leur budget carbone devrait être entièrement consommé entre 2025 et 2044. Au niveau national, la France aura consommé ce budget carbone en 2028, d'ici 10 ans seulement. »
La bonne tendance de la plupart de ces ensembles urbains doit donc être non seulement mais confirmée et accélérée. « L'enjeu est certes considérable, mais des solutions concrètes pour relever le défi climatique existent et peuvent être adoptées à court terme : développer les énergies renouvelables, le vélo et les zones à faibles émissions, amplifier la rénovation du parc bâti, favoriser l'évolution des pratiques agricoles et alimentaires ou encore développer l'économie circulaire, pour ne citer que quelques exemples. Plusieurs métropoles ont d'ores et déjà fixé des caps ambitieux vers la neutralité carbone ou le 100% renouvelables. Reste maintenant à définir le chemin pour y parvenir » ajoute le WWF.