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L’été 2023 sera marqué par des épisodes extrêmes. Et cette probabilité est très largement comprise par les Français. « À l’approche de l’été, les trois quarts d’entre eux (76 %) font part de leur inquiétude à l’égard du réchauffement climatique, selon un sondage Ifop* pour l’association Conséquences (qui s’intéresse aux impacts du changement climatique sur le quotidien). Les Français « ont compris que les étés à venir seront malheureusement marqués par les conséquences » de ce réchauffement et que les canicules passées « vont bien devenir la norme », note le directeur de l’association, Sylvain Trottier. 92 % des personnes interrogées témoignent d’ailleurs d’une intensification des événements climatiques dans leur région, notamment des vagues de chaleur et de canicule (62 % affirment qu’elles ont augmenté en fréquence) et des épisodes de sécheresse. Et 87 % estiment que ces impacts vont s’amplifier à plus ou moins long terme », rapporte Le Figaro qui a relayé les conclusions de cette enquête d’opinion.
Alors que l’incertitude économique et géopolitique sont au cœur de notre quotidien, l’association veut démontrer ainsi que le réchauffement climatique n’en demeure pas moins une préoccupation majeure. « 61 % des personnes interrogées se disent particulièrement préoccupées par les impacts du réchauffement sur la production agricole et alimentaire, plus de la moitié par les restrictions d’eau ou encore les risques d’incendies (60 %). Dans la région Paca, cette crainte des feux concerne trois quarts des sondés. Face à ces risques, seuls 11 % des Français ont l’impression que des actions suffisantes ont été mises en place près de chez eux », appuie Le Figaro.
Quant aux actions à engager, les sondés semblent continuer à estimer que c’est surtout à l’État d’agir (67%) même si les personnes aussi sont cités (39%), précise l’article : « Ces craintes sont fondées, du moins pour l’été à venir. Car malgré des pluies tardives en mai sur plusieurs régions, une large majorité des nappes phréatiques restent à des niveaux préoccupants, selon le dernier bilan mensuel du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Au 1er mai, 68 % des nappes étaient en effet à des «niveaux modérément bas à très bas ». Des restrictions sont déjà mises en place dans de nombreux départements. Le Gard et les Pyrénées-Orientales se retrouvent même en grande partie au niveau « crise » : seuls les prélèvements prioritaires (liés à la santé et à la sécurité) y sont autorisés ».
Lire ici en intégralité l’article du « Figaro »
Alors que l’incertitude économique et géopolitique sont au cœur de notre quotidien, l’association veut démontrer ainsi que le réchauffement climatique n’en demeure pas moins une préoccupation majeure. « 61 % des personnes interrogées se disent particulièrement préoccupées par les impacts du réchauffement sur la production agricole et alimentaire, plus de la moitié par les restrictions d’eau ou encore les risques d’incendies (60 %). Dans la région Paca, cette crainte des feux concerne trois quarts des sondés. Face à ces risques, seuls 11 % des Français ont l’impression que des actions suffisantes ont été mises en place près de chez eux », appuie Le Figaro.
Quant aux actions à engager, les sondés semblent continuer à estimer que c’est surtout à l’État d’agir (67%) même si les personnes aussi sont cités (39%), précise l’article : « Ces craintes sont fondées, du moins pour l’été à venir. Car malgré des pluies tardives en mai sur plusieurs régions, une large majorité des nappes phréatiques restent à des niveaux préoccupants, selon le dernier bilan mensuel du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Au 1er mai, 68 % des nappes étaient en effet à des «niveaux modérément bas à très bas ». Des restrictions sont déjà mises en place dans de nombreux départements. Le Gard et les Pyrénées-Orientales se retrouvent même en grande partie au niveau « crise » : seuls les prélèvements prioritaires (liés à la santé et à la sécurité) y sont autorisés ».
Lire ici en intégralité l’article du « Figaro »