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Dans la Loire, au niveau de Saumur, l’eau serait contaminée. C’est ce qu’affirme l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (ACRO). Elle assure avoir enregistré des niveaux inquiétants. « La présence de tritium (hydrogène radioactif) y «est quasi systématique aussi bien dans le fleuve que dans les eaux de consommation. En janvier 2019, la concentration dans l'eau de la Loire a atteint 310 Bq/L», alerte le laboratoire basé à Hérouville-Saint-Clair, près de Caen dans un communiqué commun avec le Réseau Sortir du nucléaire » rapporte Le Figaro .
Dans leur communiqué, les signataires demandent l’ouverture d’une enquête non pas pour vérifier les données mais pour identifier les raisons de ces niveaux. Sur la Loire, « le tritium est présent sur près de 400 km, entre Dampierre-en-Burly et Nantes », ajoute l'ACRO dans son rapport d'analyse de prélèvements effectués de décembre 2017 à mai 2019. A Châtellerault, « sur la Vienne les eaux de la rivière et de consommation sont contaminées en tritium à chaque prélèvement mensuel depuis décembre dernier, jusqu'à 50 becquerels par litre (Bq/L). La centrale nucléaire de Civaux en est à l'origine », affirment-elles » lit-on plus loin.
De son côté l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) rappelle que le seuil de 100 Bq/L n’est pas une limite sanitaire mais une limite qui, une fois franchie, encourage à lancer des investigations. « Interrogé par l'AFP sur l'étude de l'ACRO, le service de communication de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a répondu que le gendarme du nucléaire « mènera des investigations pour trouver l'origine de ce taux détecté » à Saumur et qu'il « réexaminera les registres mensuels des rejets des centrales de la région concernée ». Mais «il n'y a pas de risque pour l'environnement ni pour le public », a assuré l'ASN » relaye Le Figaro. A ce titre, l’ouverture d’une enquête tend plutôt à démontrer que les outils publics de surveillance fonctionnent.
Dans leur communiqué, les signataires demandent l’ouverture d’une enquête non pas pour vérifier les données mais pour identifier les raisons de ces niveaux. Sur la Loire, « le tritium est présent sur près de 400 km, entre Dampierre-en-Burly et Nantes », ajoute l'ACRO dans son rapport d'analyse de prélèvements effectués de décembre 2017 à mai 2019. A Châtellerault, « sur la Vienne les eaux de la rivière et de consommation sont contaminées en tritium à chaque prélèvement mensuel depuis décembre dernier, jusqu'à 50 becquerels par litre (Bq/L). La centrale nucléaire de Civaux en est à l'origine », affirment-elles » lit-on plus loin.
De son côté l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) rappelle que le seuil de 100 Bq/L n’est pas une limite sanitaire mais une limite qui, une fois franchie, encourage à lancer des investigations. « Interrogé par l'AFP sur l'étude de l'ACRO, le service de communication de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a répondu que le gendarme du nucléaire « mènera des investigations pour trouver l'origine de ce taux détecté » à Saumur et qu'il « réexaminera les registres mensuels des rejets des centrales de la région concernée ». Mais «il n'y a pas de risque pour l'environnement ni pour le public », a assuré l'ASN » relaye Le Figaro. A ce titre, l’ouverture d’une enquête tend plutôt à démontrer que les outils publics de surveillance fonctionnent.