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« La France a pris connaissance de la déclaration de la porte-parole du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme (HCDH) du 30 juin 2023. Toute accusation de racisme ou de discrimination systémiques par les forces de l'ordre en France est totalement infondée. Le dernier examen périodique universel auquel notre pays s'est soumis nous a permis d'en faire la démonstration », a déclaré par des Affaires étrangères françaises.
Cette prise de position ferme vis-à-vis d’une organisation de l’ONU est la réponse aux déclarations d’une porte-parole du haut-commissariat des Nations Unis concernant les émeutes françaises. « Nous sommes préoccupés par le meurtre d'un jeune de 17 ans d'origine nord-africaine par la police en France mardi. Nous notons qu'une enquête a été ouverte sur des allégations d'homicide volontaire. C'est le moment pour le pays de s'attaquer sérieusement aux profonds problèmes de racisme et de discrimination parmi les forces de l'ordre » a déclaré Ravina Shamdasani, porte-parole de l’organisation lors d’une conférence de presse à Genève.
« Nous appelons les autorités à veiller à ce que le recours à la force par la police pour lutter contre les éléments violents lors de manifestations respecte toujours les principes de légalité, de nécessité, de proportionnalité, de non-discrimination, de précaution et de responsabilité. Toute allégation d'usage disproportionné de la force doit faire l'objet d'une enquête rapide », a également déclaré la porte-parole.
Une déclaration qui n’a pas été du goût de la ministre française des Affaires étrangères qui a assuré qu’en France les forces de l’ordre sont encadrées par « un niveau de contrôle interne, externe et judiciaire tel que peu de pays en connaissent. La France, et ses forces de l'ordre, luttent avec détermination contre le racisme et toutes les formes de discriminations. Aucun doute n'est permis dans cet engagement. »
Cette prise de position ferme vis-à-vis d’une organisation de l’ONU est la réponse aux déclarations d’une porte-parole du haut-commissariat des Nations Unis concernant les émeutes françaises. « Nous sommes préoccupés par le meurtre d'un jeune de 17 ans d'origine nord-africaine par la police en France mardi. Nous notons qu'une enquête a été ouverte sur des allégations d'homicide volontaire. C'est le moment pour le pays de s'attaquer sérieusement aux profonds problèmes de racisme et de discrimination parmi les forces de l'ordre » a déclaré Ravina Shamdasani, porte-parole de l’organisation lors d’une conférence de presse à Genève.
« Nous appelons les autorités à veiller à ce que le recours à la force par la police pour lutter contre les éléments violents lors de manifestations respecte toujours les principes de légalité, de nécessité, de proportionnalité, de non-discrimination, de précaution et de responsabilité. Toute allégation d'usage disproportionné de la force doit faire l'objet d'une enquête rapide », a également déclaré la porte-parole.
Une déclaration qui n’a pas été du goût de la ministre française des Affaires étrangères qui a assuré qu’en France les forces de l’ordre sont encadrées par « un niveau de contrôle interne, externe et judiciaire tel que peu de pays en connaissent. La France, et ses forces de l'ordre, luttent avec détermination contre le racisme et toutes les formes de discriminations. Aucun doute n'est permis dans cet engagement. »