Source : Pixabay, image libre de droits.
En effet, un article en ligne du site www.novethic.fr explique que « les sociétés américaines accusent un grand retard sur leurs concurrents européens. »
Des stratégies RSE moins dynamiques
Selon l’article de Novethic, « Till Jung, le directeur du développement de l’agence de notation extra-financière Oekom Research lors de la présentation de son étude annuelle Oekom Corporate Responsibility Review », explique, au sujet de « la prise en compte de la RSE par 1 600 grandes entreprises des pays industrialisés » : « La mise en place de stratégies RSE est toujours moins dynamique qu’il ne le faudrait. Les entreprises doivent faire plus, même si bien sûr, elles ne sont pas les seules à devoir apporter des solution. »
La première conclusion de cette étude annuelle, c’est que « les entreprises qui frisent l’excellence sont quasi inexistantes : elles comptent pour 0,1 % de l’ensemble du panel et sont toutes européennes. Les mentions ‘bien’ comptent pour 16,2 % et les mentions ‘passable’ pour 34,1 %. »
Ainsi, Till Jung précise : « On voit un léger progrès chez ceux qui ne se préoccupent pas ou peu de RSE : ils passent de 53,1 % du panel à 49,7 % entre 2013 et 2014. Cela peut être dû à une amélioration de la transparence mais aussi à un petit changement de méthodologie qui fait la part moins belle à l’immobilier et au pétrole, traditionnellement dans le bas du classement. »
A une échelle plus générale, « les secteurs qui tiennent le haut du panier sont les produits ménagers, l’automobile et l’électronique grand public, des secteurs qui restent proches de leurs consommateurs. »
Till Jung ajoute en effet que « le secteur financier, à travers les banques et assurances, reste toujours assez mauvais. Il est aussi décevant de voir que l’immobilier, un secteur qui devrait pourtant aider à assurer la transition énergétique, fait figure de bon dernier… »
Lire l’intégralité de l’article de Novethics ici.
La première conclusion de cette étude annuelle, c’est que « les entreprises qui frisent l’excellence sont quasi inexistantes : elles comptent pour 0,1 % de l’ensemble du panel et sont toutes européennes. Les mentions ‘bien’ comptent pour 16,2 % et les mentions ‘passable’ pour 34,1 %. »
Ainsi, Till Jung précise : « On voit un léger progrès chez ceux qui ne se préoccupent pas ou peu de RSE : ils passent de 53,1 % du panel à 49,7 % entre 2013 et 2014. Cela peut être dû à une amélioration de la transparence mais aussi à un petit changement de méthodologie qui fait la part moins belle à l’immobilier et au pétrole, traditionnellement dans le bas du classement. »
A une échelle plus générale, « les secteurs qui tiennent le haut du panier sont les produits ménagers, l’automobile et l’électronique grand public, des secteurs qui restent proches de leurs consommateurs. »
Till Jung ajoute en effet que « le secteur financier, à travers les banques et assurances, reste toujours assez mauvais. Il est aussi décevant de voir que l’immobilier, un secteur qui devrait pourtant aider à assurer la transition énergétique, fait figure de bon dernier… »
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