Source : Pixabay, image libre de droits.
Un communiqué de la World Wide Foundation (WWF) explique que les menaces sont diverses et nombreuses : « concessions pétrolière, minière ou gazière, surpêche, exploitation forestière illégale, surexploitation des ressources en eau, infrastructures de transport ou de tourisme. »
La WWF souligne que ces sites « incarnent la notion d’aire protégée par excellence », puisqu’ils sont reconnus par l'UNESCO pour leur valeur universelle exceptionnelle, « c'est-à-dire leur beauté naturelle, leur biodiversité, leurs caractéristiques géologiques ou écologiques. » Le communiqué précise ainsi qu’ « il n'existe pas de plus haut niveau de protection de l'environnement. »
La WWF souligne que ces sites « incarnent la notion d’aire protégée par excellence », puisqu’ils sont reconnus par l'UNESCO pour leur valeur universelle exceptionnelle, « c'est-à-dire leur beauté naturelle, leur biodiversité, leurs caractéristiques géologiques ou écologiques. » Le communiqué précise ainsi qu’ « il n'existe pas de plus haut niveau de protection de l'environnement. »
Des sites qui contribuent au développement économique et social
La WWF ajoute qu’« en sauvegardant de vastes aires d'habitat, plus de 279 millions d'hectares au total, les sites contribuent également au développement économique et social. S'ils sont gérés soutenablement, ils assurent aux communautés locales des moyens de subsistance pérennes et renforcent la résilience aux catastrophes naturelles et climatiques. »
En outre, plus « de onze millions de personnes, l'équivalent de la population du Portugal, dépendent des 114 sites menacés pour subvenir à leurs besoins, se loger, se soigner, travailler. »
Sur la base des recommandations du rapport, la WWF « exhorte également les gouvernements nationaux à interdire toute activité industrielle pouvant avoir un impact sur la valeur universelle exceptionnelle des sites du Patrimoine mondial. Ils doivent notamment soumettre les multinationales aux normes les plus strictes en matière de responsabilité sociale des entreprises (RSE). »
Le WWF « appelle également le secteur privé à prendre ses responsabilités : les entreprises doivent s'engager à ne plus exercer d'activité susceptible de dégrader les sites du Patrimoine mondial et les investisseurs à cesser de financer tout projet ou toute entreprise impliquant une activité de ce type. »
Marco Lambertini, le directeur général du WWF International constate : « Nous devons prendre conscience du fait que ce ne sont pas seulement les Hommes qui protègent les sites du Patrimoine mondial mais aussi les sites qui protègent les Hommes. Ce que nous attendons des gouvernements et des entreprises, c'est qu'ils privilégient la création de valeur à long terme à une quête de profits à court terme et respectent le statut de ces lieux magiques. Il est indispensable de se détourner des activités industrielles néfastes pour s'orienter vers des alternatives durables qui nous permettront à la fois de valoriser et de préserver ces sites qui sont sources de bénéfices économiques et non-économiques pour les populations locales mais aussi et plus largement pour nous tous.»
En outre, plus « de onze millions de personnes, l'équivalent de la population du Portugal, dépendent des 114 sites menacés pour subvenir à leurs besoins, se loger, se soigner, travailler. »
Sur la base des recommandations du rapport, la WWF « exhorte également les gouvernements nationaux à interdire toute activité industrielle pouvant avoir un impact sur la valeur universelle exceptionnelle des sites du Patrimoine mondial. Ils doivent notamment soumettre les multinationales aux normes les plus strictes en matière de responsabilité sociale des entreprises (RSE). »
Le WWF « appelle également le secteur privé à prendre ses responsabilités : les entreprises doivent s'engager à ne plus exercer d'activité susceptible de dégrader les sites du Patrimoine mondial et les investisseurs à cesser de financer tout projet ou toute entreprise impliquant une activité de ce type. »
Marco Lambertini, le directeur général du WWF International constate : « Nous devons prendre conscience du fait que ce ne sont pas seulement les Hommes qui protègent les sites du Patrimoine mondial mais aussi les sites qui protègent les Hommes. Ce que nous attendons des gouvernements et des entreprises, c'est qu'ils privilégient la création de valeur à long terme à une quête de profits à court terme et respectent le statut de ces lieux magiques. Il est indispensable de se détourner des activités industrielles néfastes pour s'orienter vers des alternatives durables qui nous permettront à la fois de valoriser et de préserver ces sites qui sont sources de bénéfices économiques et non-économiques pour les populations locales mais aussi et plus largement pour nous tous.»