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Ainsi, pour répondre à ce besoin primordial, un cabinet, Compta Durable, a développé une méthode « pour aider les entreprises à piloter au mieux leur stratégie RSE. »
Un article en ligne du journal Novethic.fr (d’après un article initialement publié dans le magazine « L’essentiel de la RSE N°108 » de janvier dernier) explique l’essor de cette nouvelle « comptabilité environnementale » et de ses enjeux.
Un article en ligne du journal Novethic.fr (d’après un article initialement publié dans le magazine « L’essentiel de la RSE N°108 » de janvier dernier) explique l’essor de cette nouvelle « comptabilité environnementale » et de ses enjeux.
Une comptabilité adaptée à l’environnement
L’article explique qu’« un petit cabinet indépendant, Compta Durable, teste actuellement une méthode novatrice, baptisée CARE – pour comptabilité adaptée au renouvellement de l’environnement. » Cette méthode « s’appuie sur les travaux de Jacques Richard, professeur émérite de l’université Paris-Dauphine, expert-comptable et commissaire aux comptes. »
Le cabinet explique qu’elle « défend une vision forte de la soutenabilité : son objectif est d’assurer la conservation du capital environnemental et du capital humain, par la restauration systématique de leurs potentiels productifs. Fondamentalement, CARE prend à revers le principe posé du développement durable qui consiste à dire que l’on s’endette auprès des générations futures. Ici, il s’agit d’une obligation interne de la génération actuelle de réparer 'sa' dégradation des capitaux. »
Sur quoi est basé le modèle ? « Sur l’idée que l’entreprise qui dégrade ses capitaux – financiers, humains et/ou naturels – doit les réparer. »
Ainsi, Hervé Gbego, fondateur et président de Compta durable, déclare : « Nous partons de la mesure de l’entreprise de l’utilisation de ces différents capitaux. Pour certaines, notamment les plus grandes, ce sera plus facile car elles disposent de nombreux indicateurs. Puis nous les confrontons à l’évaluation scientifique du seuil limite de dégradation pour le maintien des fonctions environnementales et sociales. Pour cela, nous faisons appel à une cellule de recherche composée d’urbaniste, d’ergonome, d’écologue, d’informaticien, etc. C’est l’écart de durabilité entre les deux valeurs qui nous intéresse. »
L’article ajoute que « le calcul du coût nécessaire à la restauration et au maintien des différents capitaux est ensuite intégré dans le bilan et le compte de résultat CARE. » Ainsi, « une entreprise va indiquer le nombre d’arrêts maladie qu’elle enregistre par an. Un spécialiste va établir le seuil limite d’absence qui nuirait à l’entreprise. De cet écart, va naître un coût intégré à la comptabilité de l’entreprise. L’entreprise paie donc pour prévenir l’impact de ses activités sans attendre que cet impact soit effectif. Par ailleurs, ce coût est intégré dans le bilan comptable et pas uniquement dans le compte de résultat. »
Lire l’intégralité de l’article de www.novethic.fr ici
Le cabinet explique qu’elle « défend une vision forte de la soutenabilité : son objectif est d’assurer la conservation du capital environnemental et du capital humain, par la restauration systématique de leurs potentiels productifs. Fondamentalement, CARE prend à revers le principe posé du développement durable qui consiste à dire que l’on s’endette auprès des générations futures. Ici, il s’agit d’une obligation interne de la génération actuelle de réparer 'sa' dégradation des capitaux. »
Sur quoi est basé le modèle ? « Sur l’idée que l’entreprise qui dégrade ses capitaux – financiers, humains et/ou naturels – doit les réparer. »
Ainsi, Hervé Gbego, fondateur et président de Compta durable, déclare : « Nous partons de la mesure de l’entreprise de l’utilisation de ces différents capitaux. Pour certaines, notamment les plus grandes, ce sera plus facile car elles disposent de nombreux indicateurs. Puis nous les confrontons à l’évaluation scientifique du seuil limite de dégradation pour le maintien des fonctions environnementales et sociales. Pour cela, nous faisons appel à une cellule de recherche composée d’urbaniste, d’ergonome, d’écologue, d’informaticien, etc. C’est l’écart de durabilité entre les deux valeurs qui nous intéresse. »
L’article ajoute que « le calcul du coût nécessaire à la restauration et au maintien des différents capitaux est ensuite intégré dans le bilan et le compte de résultat CARE. » Ainsi, « une entreprise va indiquer le nombre d’arrêts maladie qu’elle enregistre par an. Un spécialiste va établir le seuil limite d’absence qui nuirait à l’entreprise. De cet écart, va naître un coût intégré à la comptabilité de l’entreprise. L’entreprise paie donc pour prévenir l’impact de ses activités sans attendre que cet impact soit effectif. Par ailleurs, ce coût est intégré dans le bilan comptable et pas uniquement dans le compte de résultat. »
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