Un engagement croissant des conseils en matière de RSE
En 2024, 86 % des entreprises du SBF 120 disposent d’un comité dédié à la RSE/ESG (Environnement, Social, Gouvernance). Cet engagement place la France en tête des pays européens sur cette question, avec des résultats nettement au-dessus de la moyenne de la zone euro (63%) et des sociétés anglo-saxonnes (moins de 60%). Pour les dirigeants et cadres, cette tendance implique une réévaluation des pratiques managériales. Il devient plus qu’important de développer une approche intégrée où la RSE est ancrée dans les décisions stratégiques et opérationnelles.
Face à l’importance croissante des enjeux RSE, la formation des conseils d’administration devient un impératif. Entre 2021 et 2023, plus de la moitié des conseils du CAC 40 (53%) ont organisé au moins une formation sur ces sujets, ce qui représente un bond considérable. Il devient en effet essentiel de maîtriser les dimensions RSE pour anticiper les risques environnementaux et sociétaux qui pourraient impacter la performance financière et la réputation de l’entreprise.
Face à l’importance croissante des enjeux RSE, la formation des conseils d’administration devient un impératif. Entre 2021 et 2023, plus de la moitié des conseils du CAC 40 (53%) ont organisé au moins une formation sur ces sujets, ce qui représente un bond considérable. Il devient en effet essentiel de maîtriser les dimensions RSE pour anticiper les risques environnementaux et sociétaux qui pourraient impacter la performance financière et la réputation de l’entreprise.
Le partage de la valeur : une thématique en pleine évolution
Le partage de la valeur est un autre axe majeur mis en avant par le baromètre 2024. En effet, 82,5% des entreprises du CAC 40 communiquent désormais sur leurs pratiques en matière de partage de la valeur, contre seulement 55% en 2019. Cet élan est notamment renforcé par la transposition en 2023 de l’Accord National Interprofessionnel (ANI) dans le droit français. Ce cadre incite les entreprises à réfléchir de manière plus inclusive à la redistribution des richesses générées.
Les entreprises françaises se distinguent en outre par leurs engagements. En 2024, 67% des entreprises du SBF 120 se sont engagées auprès de l’initiative Science Based Targets (SBTi), confirmant leur volonté de réduire leur empreinte carbone. Cependant, seules 37% des entreprises visent l’objectif ambitieux de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, conformément aux recommandations de l’Accord de Paris.
Les entreprises françaises se distinguent en outre par leurs engagements. En 2024, 67% des entreprises du SBF 120 se sont engagées auprès de l’initiative Science Based Targets (SBTi), confirmant leur volonté de réduire leur empreinte carbone. Cependant, seules 37% des entreprises visent l’objectif ambitieux de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, conformément aux recommandations de l’Accord de Paris.