ILD
Mieux faire oui mais comment ? C’est la question que les managers et dirigeants d’entreprises se posent. En effet, dans l’idée tout le monde est d’accord pour dire que si de bonnes pratiques peuvent être mises en place facilement et pour un coût indolore, elles le seront. Les initiatives en faveur de l’engagement social, du bien-être au travail et plus globalement de l’impact de l’entreprise sur la société sont pléthores. A tel point que l’on ne sait souvent par quoi commencer et que l’on simplifie trop souvent l’engagement RSE à des mesures environnementales cosmétiques.
S’il est ardu de lister les engagements prioritaires, l’on peut se mettre d’accord sur les outils indispensables que sont les politiques RH et RSE. Intimement liées, et pouvant même être confondues selon la taille de l’entreprise, ces deux départements sont moteurs dans l’engagement d’une entreprise. Une réalité bien comprise par les DRH eux-mêmes.
A l’occasion de la remise de prix du Cercle Humania – réseau de DRH – cette tendance est apparue clairement. « Au vu des 44 dossiers de participation que nous avons reçus cette année, ce qui émerge, c'est que l'humain, en interne comme en externe, est devenu une préoccupation prioritaire » a explique au journal Les Echos, le président du cercle Ghislain Missonnier. Pour le quotidien, c’est un fait, « les DRH se donnent pour mission de favoriser le collectif au sein des organisations. Et, en écho, les démarches RSE (ne se concentrant plus sur la diversité ou la qualité de vie au travail) quittent les murs de l'entreprise pour investir plus globalement le champ du social. Ces notions RH et RSE se retrouvent au coeur des activités de nombreuses start-up, sociétés qui font l'objet d'une nouvelle catégorie de prix Humania avec Human Up ».
Outre le fait qu’une politique RH plus à l’écoute et au service des collaborateurs est un engagement RSE en elle-même, ce sont les DRH qui peuvent faire le lien entre les grandes lignes d’engagements et les travailleurs. Ce sont eux aussi qui peuvent faire sortir de la RSE du sens pour les salariés et donc de la performance.
S’il est ardu de lister les engagements prioritaires, l’on peut se mettre d’accord sur les outils indispensables que sont les politiques RH et RSE. Intimement liées, et pouvant même être confondues selon la taille de l’entreprise, ces deux départements sont moteurs dans l’engagement d’une entreprise. Une réalité bien comprise par les DRH eux-mêmes.
A l’occasion de la remise de prix du Cercle Humania – réseau de DRH – cette tendance est apparue clairement. « Au vu des 44 dossiers de participation que nous avons reçus cette année, ce qui émerge, c'est que l'humain, en interne comme en externe, est devenu une préoccupation prioritaire » a explique au journal Les Echos, le président du cercle Ghislain Missonnier. Pour le quotidien, c’est un fait, « les DRH se donnent pour mission de favoriser le collectif au sein des organisations. Et, en écho, les démarches RSE (ne se concentrant plus sur la diversité ou la qualité de vie au travail) quittent les murs de l'entreprise pour investir plus globalement le champ du social. Ces notions RH et RSE se retrouvent au coeur des activités de nombreuses start-up, sociétés qui font l'objet d'une nouvelle catégorie de prix Humania avec Human Up ».
Outre le fait qu’une politique RH plus à l’écoute et au service des collaborateurs est un engagement RSE en elle-même, ce sont les DRH qui peuvent faire le lien entre les grandes lignes d’engagements et les travailleurs. Ce sont eux aussi qui peuvent faire sortir de la RSE du sens pour les salariés et donc de la performance.