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Il y a un potentiel certain dans l’énergie bleue et osmotique. Suffisamment d’ailleurs pour que l’article écrit dans le cadre d’un partenariat entre ENEDIS, filiale de EDF chargée du réseau, et Le Parisien-Aujourd’hui en France mérite d’être souligné.
Le principe est simple, la rencontre dans les estuaires entre l’eau douce et l’eau salée entraine des mouvements de fluides qui sont autant d’énergie sur lesquels l’on pourrait capitaliser.
« Les estuaires ne sont d'ailleurs pas les seuls endroits où l'on peut envisager de récupérer de l'énergie bleue. Les stations d'épuration situées en bord de mer offriraient également un cadre favorable à cette production d'énergie. Même chose pour les unités de dessalement : l'eau très concentrée en sel qui en ressort pourrait être mélangée avec de l'eau de mer moins salée. Au total, le potentiel de l'énergie bleue est estimé, selon les études, entre 1 et 2 TW (terawatts) » assure l’article. Un chiffre très important qui s’explique notamment par le fait que la production d’énergie par ce procédé est continue contrairement au solaire ou à l’éolien.
Mais ces estimations sont encore de l’ordre du fantasme puisque, à ce jour, aucune technologie n’a été capable de produire de l’électricité à un niveau suffisant. « Des travaux sont depuis menés pour augmenter cette rentabilité énergétique. C'est notamment le cas au laboratoire de physique de l'École normale supérieure où des avancées importantes ont été observées ces dernières années. Elles s'appuient sur les recherches concernant les propriétés des fluides à l'échelle nanométrique mais aussi sur l'usage de membranes réalisées avec de nouveaux matériaux » lit-on plus loin. Une startup a été créée qui vise l’installation d’une première structure en milieu naturel d’ici cinq ans. De quoi nuancer légèrement la promesse de révolution énergétique mais qui mérite tout de même d’être suivi avec intérêt.
Lire en intégralité l’article du Parisen-Aujourd’hui en France réalisé en partenariat avec ENEDIS
Le principe est simple, la rencontre dans les estuaires entre l’eau douce et l’eau salée entraine des mouvements de fluides qui sont autant d’énergie sur lesquels l’on pourrait capitaliser.
« Les estuaires ne sont d'ailleurs pas les seuls endroits où l'on peut envisager de récupérer de l'énergie bleue. Les stations d'épuration situées en bord de mer offriraient également un cadre favorable à cette production d'énergie. Même chose pour les unités de dessalement : l'eau très concentrée en sel qui en ressort pourrait être mélangée avec de l'eau de mer moins salée. Au total, le potentiel de l'énergie bleue est estimé, selon les études, entre 1 et 2 TW (terawatts) » assure l’article. Un chiffre très important qui s’explique notamment par le fait que la production d’énergie par ce procédé est continue contrairement au solaire ou à l’éolien.
Mais ces estimations sont encore de l’ordre du fantasme puisque, à ce jour, aucune technologie n’a été capable de produire de l’électricité à un niveau suffisant. « Des travaux sont depuis menés pour augmenter cette rentabilité énergétique. C'est notamment le cas au laboratoire de physique de l'École normale supérieure où des avancées importantes ont été observées ces dernières années. Elles s'appuient sur les recherches concernant les propriétés des fluides à l'échelle nanométrique mais aussi sur l'usage de membranes réalisées avec de nouveaux matériaux » lit-on plus loin. Une startup a été créée qui vise l’installation d’une première structure en milieu naturel d’ici cinq ans. De quoi nuancer légèrement la promesse de révolution énergétique mais qui mérite tout de même d’être suivi avec intérêt.
Lire en intégralité l’article du Parisen-Aujourd’hui en France réalisé en partenariat avec ENEDIS