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Pas de fracas ou de grande rupture dans la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) que vient de publier le gouvernement. Mise ne ligne ce vendredi 25 janvier sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire, la feuille de route garde sa position équilibriste. Dans le dossier du nucléaire notamment, l’exécutif ne fait pas le début du commencement d’une sortie. Pour la baisse de la part du nucléaire, l’horizon 2035 est fixé. Pour autant le gouvernement continue à présenter le document comme un pas dans la bonne direction avec la baisse des énergies fossiles, le développement du renouvelable et la neutralité carbone pour 2050.
« A l’exception de la centrale de Fessenheim, qui devrait cesser sa production en 2020, la PPE prévoit deux fermetures de réacteurs en 2027 et 2028. Deux autres réacteurs pourraient être fermés en 2025 et 2026, si les conditions le permettent : un prochain gouvernement devra prendre cette décision en décembre 2022. Le reste des fermetures des réacteurs est repoussé à après 2028. Le ministère précise que ce sera à EDF de proposer les noms des réacteurs à fermer. Ils seront choisis parmi les sites de Tricastin, Bugey, Gravelines, Dampierre, Blayais, Cruas, Chinon et Saint-Laurent » résume Le Monde .
L’éolien et le solaire vont être développés en force avec d’ici 2030 près de 15 000 éoliennes en activité contre les 8 000 actuelles. « Les ambitions sont moins importantes sur l’éolien en mer, qui peine déjà à décoller en France. Le texte prévoit des appels d’offres limités dans les cinq prochaines années. Les professionnels de la filière espèrent encore convaincre le gouvernement de réviser ces ambitions à la hausse dans les mois qui viennent » précise le quotidien français. Enfin, dans un contexte de mouvement des Gilets jaunes initié par la taxe carbone, le gouvernement reste prudent. Aucune mention de cette disposition n’apparait dans la feuille de route qui vient d’être publiée.
« A l’exception de la centrale de Fessenheim, qui devrait cesser sa production en 2020, la PPE prévoit deux fermetures de réacteurs en 2027 et 2028. Deux autres réacteurs pourraient être fermés en 2025 et 2026, si les conditions le permettent : un prochain gouvernement devra prendre cette décision en décembre 2022. Le reste des fermetures des réacteurs est repoussé à après 2028. Le ministère précise que ce sera à EDF de proposer les noms des réacteurs à fermer. Ils seront choisis parmi les sites de Tricastin, Bugey, Gravelines, Dampierre, Blayais, Cruas, Chinon et Saint-Laurent » résume Le Monde .
L’éolien et le solaire vont être développés en force avec d’ici 2030 près de 15 000 éoliennes en activité contre les 8 000 actuelles. « Les ambitions sont moins importantes sur l’éolien en mer, qui peine déjà à décoller en France. Le texte prévoit des appels d’offres limités dans les cinq prochaines années. Les professionnels de la filière espèrent encore convaincre le gouvernement de réviser ces ambitions à la hausse dans les mois qui viennent » précise le quotidien français. Enfin, dans un contexte de mouvement des Gilets jaunes initié par la taxe carbone, le gouvernement reste prudent. Aucune mention de cette disposition n’apparait dans la feuille de route qui vient d’être publiée.