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Tous à la maison. Les mesures prises contre le coronavirus concernent de premier chef les enfants et jeunes qui fréquentent des établissements scolaires ou universitaires. 115 pays ont annoncé des mesures de fermetures des lieux d’enseignements, ce qui impacte près d’un milliard de personnes. « Selon le suivi effectué par l'agence onusienne en date du 17 mars (voir carte), 105 pays ont fermé les établissements scolaires sur l'ensemble de leur territoire, affectant plus de 959,2 millions d'enfants et de jeunes. Dix pays ont procédé à des fermetures localisées. Il y a à peine deux semaines, l'UNESCO enregistrait des fermetures d'écoles dans 13 pays, perturbant l'éducation de plus de 290 millions d'élèves dans le monde. Déjà, l'UNESCO estimait que ce chiffre était sans précédent » rapporte le communiqué de l’agence.
Face à cette situation qui n’a pas d’équivalents sauf aux époques de conflits mondiaux, l’Unesco assure qu’elle s’engage pour que l’instruction se poursuive. « Nous œuvrons avec les États pour assurer la continuité de l'apprentissage pour tous, en particulier pour les enfants et les jeunes défavorisés qui ont tendance à être les plus touchés par les fermetures d'écoles. Si les fermetures temporaires d'écoles pour cause de crise sanitaire ou autre ne sont malheureusement pas nouvelles, l'ampleur et la rapidité de la perturbation actuelle de l'éducation au niveau mondial sont sans précédent et, si elles se prolongent, pourraient menacer le droit à l'éducation », avait déclaré la directrice de l’organisation, Audrey Azoulay.
Les ministres de l’éducation ou hauts fonctionnaires de soixante-douze pays se sont donnés rendez-vous pour une visioconférence pour échanger sur les stratégies à mettre en place pour que l’apprentissage continue. « L'UNESCO soutient la mise en œuvre de programmes d'apprentissage à distance à grande échelle et recommande des applications et des plateformes éducatives en accès libre que les écoles et les enseignants peuvent utiliser pour atteindre les apprenants à distance » appuie le communiqué.
Face à cette situation qui n’a pas d’équivalents sauf aux époques de conflits mondiaux, l’Unesco assure qu’elle s’engage pour que l’instruction se poursuive. « Nous œuvrons avec les États pour assurer la continuité de l'apprentissage pour tous, en particulier pour les enfants et les jeunes défavorisés qui ont tendance à être les plus touchés par les fermetures d'écoles. Si les fermetures temporaires d'écoles pour cause de crise sanitaire ou autre ne sont malheureusement pas nouvelles, l'ampleur et la rapidité de la perturbation actuelle de l'éducation au niveau mondial sont sans précédent et, si elles se prolongent, pourraient menacer le droit à l'éducation », avait déclaré la directrice de l’organisation, Audrey Azoulay.
Les ministres de l’éducation ou hauts fonctionnaires de soixante-douze pays se sont donnés rendez-vous pour une visioconférence pour échanger sur les stratégies à mettre en place pour que l’apprentissage continue. « L'UNESCO soutient la mise en œuvre de programmes d'apprentissage à distance à grande échelle et recommande des applications et des plateformes éducatives en accès libre que les écoles et les enseignants peuvent utiliser pour atteindre les apprenants à distance » appuie le communiqué.