Source : PIxabay, image libre de droits.
Plusieurs annonces ont été faites lors de cette première journée de la COP21, concernant entre autres des initiatives et partenariats en faveur du climat.
Un article en ligne de "France Tv info" souligne ces différentes annonces et les enjeux qu’elles représentent.
Un article en ligne de "France Tv info" souligne ces différentes annonces et les enjeux qu’elles représentent.
Une approche pratique et concrète
L’article rapporte d’abord les propos de Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères français, qui dans son discours prononcé en ouverture de la COP21 ce lundi 30 novembre rappelle que « Dans les heures et les jours qui viennent seront annoncés des engagements concrets, des initiatives très puissantes. »
Ainsi, « pendant 15 jours, les négociateurs des 195 pays membres de la Convention cadre des nations unies sur le changement climatique (CCUNCC), doivent se mettre d'accord sur un accord juridique censé les mener (voire les contraindre) à limiter leurs émissions de gaz à effet de serre, afin de limiter la hausse des températures à 2 °C d'ici la fin du siècle. Soit deux semaines de discussions autour d'un texte jargonneux et abstrait, du moins pour le commun des mortels. »
Par conséquent, l’article explique que « plusieurs Etats ont profité de la présence de nombreux dirigeants au Bourget, en cette première journée de la COP21, pour faire des annonces concrètes et faire la lumière sur des partenariats noués en marge des négociations onusiennes avec le secteur privé. Une volonté de placer cette conférence sous le signe de l'action, et d'éviter de reproduire l'échec de Copenhague, en 2009. »
François Hollande a quant à lui affirmé lors du lancement de l'"alliance solaire internationale" que « Cette alliance, comme souvent, c'est une avant-garde. (...) Ce que nous sommes en train de montrer, c'est déjà l'illustration du futur accord de Paris. »
Par ailleurs, l’article de France info ajoute que « dès dimanche, la Maison Blanche a indiqué que les Etats-Unis et 19 autres pays, dont la France, allaient s'engager à doubler leurs investissements dans les énergies dites "propres" d'ici 5 ans », ajoutant que « cet engagement, baptisé "mission innovation", doit réunir une vingtaine de pays qui devront donc investir près de 20 milliards de dollars (19 milliards d'euros) dans la recherche pour des énergies propres d'ici à 2020. »
Ainsi, « pendant 15 jours, les négociateurs des 195 pays membres de la Convention cadre des nations unies sur le changement climatique (CCUNCC), doivent se mettre d'accord sur un accord juridique censé les mener (voire les contraindre) à limiter leurs émissions de gaz à effet de serre, afin de limiter la hausse des températures à 2 °C d'ici la fin du siècle. Soit deux semaines de discussions autour d'un texte jargonneux et abstrait, du moins pour le commun des mortels. »
Par conséquent, l’article explique que « plusieurs Etats ont profité de la présence de nombreux dirigeants au Bourget, en cette première journée de la COP21, pour faire des annonces concrètes et faire la lumière sur des partenariats noués en marge des négociations onusiennes avec le secteur privé. Une volonté de placer cette conférence sous le signe de l'action, et d'éviter de reproduire l'échec de Copenhague, en 2009. »
François Hollande a quant à lui affirmé lors du lancement de l'"alliance solaire internationale" que « Cette alliance, comme souvent, c'est une avant-garde. (...) Ce que nous sommes en train de montrer, c'est déjà l'illustration du futur accord de Paris. »
Par ailleurs, l’article de France info ajoute que « dès dimanche, la Maison Blanche a indiqué que les Etats-Unis et 19 autres pays, dont la France, allaient s'engager à doubler leurs investissements dans les énergies dites "propres" d'ici 5 ans », ajoutant que « cet engagement, baptisé "mission innovation", doit réunir une vingtaine de pays qui devront donc investir près de 20 milliards de dollars (19 milliards d'euros) dans la recherche pour des énergies propres d'ici à 2020. »