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Entre n’importe quel vélo et une voiture, il n’y a pas photo. Mais entre deux vélos, la question se pose. C’est en somme ce que l’on comprend du long et très détaillé article publié par le site spécialisé Matos Vélo . Rappelant évidemment que se déplacer en poussant des pédales avait des effets évidents, l’article montre que comme dans tout domaine de consommation, les critères écologiques dans le choix des produits peuvent entrer en jeu.
« Un vélo conventionnel nécessite en moyenne 100 kg de CO2 à produire, contre 165 kg pour un vélo électrique. Ce chiffre est légèrement supérieur aux données de référence jusqu’ici utilisées par la Fédération européenne des cyclistes (134 kg), mais l’ordre de grandeur est le même. Mais bien que 50% plus importante que pour un vélo classique, l’empreinte carbone d’un vélo électrique reste largement plus faible que pour celle d’une voiture : fabriquer une berline électrique de taille moyenne engendre davantage de CO2 que 50 vélos, tandis que sortir un SUV des usines équivaut à la fabrication de 78 deux-roues. Avec les nombreuses pénuries de pièces vélos, on découvre aujourd'hui que notre dépendance par rapport à l'Asie, en plus d'être très impactante en termes de CO2 avec les transports en bateaux entre l'Asie et l'Europe, peut-être problématique » explique le texte.
Malgré les progrès effectués pour le recyclage des batteries des vélos électriques, le sujet il s’agit du principal enjeu environnemental. Mais pas le seul puisque finalement seules les batteries sont concernées par une obligation de recyclage. Pour le reste il s’agit d’engagements de certaines marques, conscientes que l’attrait du vélo peut être motivé par un souci écolo. « Les marques ont aussi réduit le nombre d'emballages plastiques ou modifiés leur composition pour les rendre bio-dégradables. Bien sûr, l'idéal est de se passer de tout suremballage, mais parfois, la protection des produits le nécessite » commente Matos Vélo.
Lire en intégralité sur son site l’article de Matos Vélo
« Un vélo conventionnel nécessite en moyenne 100 kg de CO2 à produire, contre 165 kg pour un vélo électrique. Ce chiffre est légèrement supérieur aux données de référence jusqu’ici utilisées par la Fédération européenne des cyclistes (134 kg), mais l’ordre de grandeur est le même. Mais bien que 50% plus importante que pour un vélo classique, l’empreinte carbone d’un vélo électrique reste largement plus faible que pour celle d’une voiture : fabriquer une berline électrique de taille moyenne engendre davantage de CO2 que 50 vélos, tandis que sortir un SUV des usines équivaut à la fabrication de 78 deux-roues. Avec les nombreuses pénuries de pièces vélos, on découvre aujourd'hui que notre dépendance par rapport à l'Asie, en plus d'être très impactante en termes de CO2 avec les transports en bateaux entre l'Asie et l'Europe, peut-être problématique » explique le texte.
Malgré les progrès effectués pour le recyclage des batteries des vélos électriques, le sujet il s’agit du principal enjeu environnemental. Mais pas le seul puisque finalement seules les batteries sont concernées par une obligation de recyclage. Pour le reste il s’agit d’engagements de certaines marques, conscientes que l’attrait du vélo peut être motivé par un souci écolo. « Les marques ont aussi réduit le nombre d'emballages plastiques ou modifiés leur composition pour les rendre bio-dégradables. Bien sûr, l'idéal est de se passer de tout suremballage, mais parfois, la protection des produits le nécessite » commente Matos Vélo.
Lire en intégralité sur son site l’article de Matos Vélo