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Décidemment il y a encore des progrès à faire. Le site l’ADN souligne en effet une enquête d’opinion qui confirme une fois de plus que la RSE n’est pas un concept très bien compris par le public et les entreprises. Le sondage Ipsos avec Openminded KFE le montre (échantillon de 870 personnes interrogées en octobre 2018).
« Globalement, tout le monde a pigé que la RSE, c’était quelque chose de positif. On ne sait pas très bien définir la notion (49% des personnes interrogées ignorent ce que c’est, et seules 12% affirment savoir précisément de quoi il s’agit), mais on l’associe quand même à des valeurs sociales et environnementales (76%). C’est déjà ça… mais il manque, en général, la dimension ressources humaines. Alors que la RSE est, « par essence une partie intégrante de la gestion du capital humain », comme le rappellent les équipes » souligne le site.
L’ADN rappelle à raison que cette situation n’est pas surprenante dans la mesure où plusieurs enquêtes précédentes ont montré qu’au sein des entreprises, la RSE est rarement comprise. « Cette ignorance est aussi due à l’organisation des entreprises autour du sujet. Selon le baromètre RSE Ekodev de novembre 2017 , 48% des travailleurs et travailleuses ne savent pas qui est en charge de la RSE au sein même de leur société. Une statistique qui s’élève à 60% chez les non-managers ! Le baromètre rappelle par ailleurs que seuls 15% sont impliqués dans la stratégie RSE de leur boîte – dommage, quand on sait qu’ils sont 70% à vouloir l’être davantage » lit-on.
En revanche, lorsqu’il s’agit de communication externe et de réputation, la RSE suscite plus d’enthousiasme. « Un sentiment qui tend à montrer que les considérations de notoriété sont prioritaires sur l’engagement des équipes ou la volonté de trouver de nouveaux modèles au service du bien commun » commente L’ADN.
Lire en intégralité l’article cité sur le site l’ADN
« Globalement, tout le monde a pigé que la RSE, c’était quelque chose de positif. On ne sait pas très bien définir la notion (49% des personnes interrogées ignorent ce que c’est, et seules 12% affirment savoir précisément de quoi il s’agit), mais on l’associe quand même à des valeurs sociales et environnementales (76%). C’est déjà ça… mais il manque, en général, la dimension ressources humaines. Alors que la RSE est, « par essence une partie intégrante de la gestion du capital humain », comme le rappellent les équipes » souligne le site.
L’ADN rappelle à raison que cette situation n’est pas surprenante dans la mesure où plusieurs enquêtes précédentes ont montré qu’au sein des entreprises, la RSE est rarement comprise. « Cette ignorance est aussi due à l’organisation des entreprises autour du sujet. Selon le baromètre RSE Ekodev de novembre 2017 , 48% des travailleurs et travailleuses ne savent pas qui est en charge de la RSE au sein même de leur société. Une statistique qui s’élève à 60% chez les non-managers ! Le baromètre rappelle par ailleurs que seuls 15% sont impliqués dans la stratégie RSE de leur boîte – dommage, quand on sait qu’ils sont 70% à vouloir l’être davantage » lit-on.
En revanche, lorsqu’il s’agit de communication externe et de réputation, la RSE suscite plus d’enthousiasme. « Un sentiment qui tend à montrer que les considérations de notoriété sont prioritaires sur l’engagement des équipes ou la volonté de trouver de nouveaux modèles au service du bien commun » commente L’ADN.
Lire en intégralité l’article cité sur le site l’ADN