Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Euronews explique qu’un essai a été effectué en Sicile avec « un prototype capable d’analyser des toxines dans l’eau de mer en temps réel. »
L’article explique que « les substances qui polluent la mer sont nombreuses mais difficiles à détecter. Dans le port de Messine, une équipe participant au projet de recherche européen BRAAVOO est en train de tester un bateau robotisé qui effectue automatiquement des prélèvements dans l’eau de mer. A son bord, des biocapteurs vont ensuite les analyser instantanément. »
L’article explique que « les substances qui polluent la mer sont nombreuses mais difficiles à détecter. Dans le port de Messine, une équipe participant au projet de recherche européen BRAAVOO est en train de tester un bateau robotisé qui effectue automatiquement des prélèvements dans l’eau de mer. A son bord, des biocapteurs vont ensuite les analyser instantanément. »
L’efficacité du biocapteur
John Wallace, ingénieur environnement de l’entreprise irlandaise IDS-Monitoring, impliquée dans le projet, explique : « Ce qui est fantastique sur ce bateau, c’est le biocapteur. Dans le cadre de ce test spécifique, on regarde comment la bactérie répond aux toxines dans l’eau. Et les types de toxines que cet appareil va mesurer, on ne les mesure normalement qu’en prenant un échantillon qu’on ramène en laboratoire : ce qui veut dire de grands bateaux, beaucoup de personnes et beaucoup de temps. » Il ajoute : « grâce à ce biocapteur, en quelques heures, on fait ce que ferait une équipe en plusieurs jours. »
En Sicile, à l’Institut pour l’environnement marin côtier du Centre de recherche national (IAMC-CNR), « des chercheurs testent l’efficacité des biocapteurs dans un bassin expérimental. Une marée noire a été simulée. C’est l’une des nombreuses applications envisagées pour cette technologie innovante : donner l’alerte en cas de pollution et aider à la décontamination. »
Renata Denaro, microbiologiste marine de l’Institut, assure : « Ce sont des capteurs qui sont spécifiques pour certains types d’hydrocarbures et qui vont être testés durant cinq jours. » Elle précise : « Pendant cette période, on va simuler aussi une opération de nettoyage, une procédure qui fait partie du plan d’urgence national et grâce à ces biocapteurs, on peut donner une première alerte et cela va nous indiquer quelle sera la stratégie la plus adaptée pour intervenir après la récupération du pétrole. »
Lire l’intégralité de l’article d’Euronews ici.
En Sicile, à l’Institut pour l’environnement marin côtier du Centre de recherche national (IAMC-CNR), « des chercheurs testent l’efficacité des biocapteurs dans un bassin expérimental. Une marée noire a été simulée. C’est l’une des nombreuses applications envisagées pour cette technologie innovante : donner l’alerte en cas de pollution et aider à la décontamination. »
Renata Denaro, microbiologiste marine de l’Institut, assure : « Ce sont des capteurs qui sont spécifiques pour certains types d’hydrocarbures et qui vont être testés durant cinq jours. » Elle précise : « Pendant cette période, on va simuler aussi une opération de nettoyage, une procédure qui fait partie du plan d’urgence national et grâce à ces biocapteurs, on peut donner une première alerte et cela va nous indiquer quelle sera la stratégie la plus adaptée pour intervenir après la récupération du pétrole. »
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