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Après des années de menace, la mer Méditerranée va mieux. C'est le constat des scientifiques et observateurs de la biodiversité de cette zone. Pour autant, il existe encore beaucoup de travail pour mieux protéger cette zone exceptionnelle qui attire des touristes du monde entier.
Menacée par des pollution en tous genres, liés l'industrialisation, au tourisme et à l'intense trafic maritime, la mer Méditerranée a été en danger avant que de nouvelles exigences, normes et systèmes de surveillance ne parviennent à inverser la vapeur.
Menacée par des pollution en tous genres, liés l'industrialisation, au tourisme et à l'intense trafic maritime, la mer Méditerranée a été en danger avant que de nouvelles exigences, normes et systèmes de surveillance ne parviennent à inverser la vapeur.
Une mer incomparable
Un article du journal Le Figaro met en lumière le travail de Nardo Vicente, 80 ans et biologiste marin qui peut se féliciter d'une « vie passée dans les eaux de Méditerranée, au cours de plus de 10.000 plongées.» Toujours responsable scientifique de l'Institut océanographique Paul Ricard (IOPR), « 44 ans après en avoir fondé l'équipe de recherche sur l'île des Embiez, dans le Var », Nardo Vicente « s'émerveille comme au premier jour face à sa Méditerranée. »
Pour lui, on a sauvé la mer Méditerranée de la pollution, et il s’en réjouit en vantant ses atouts : « Ses eaux vert et bleu, sa faune et sa flore, ses bancs de girelles et de pointus, ses paysages somptueux de posidonies, de gorgones et d'anémones… elle est incomparable. » Chiffrée, cette richesse se résume à une estimation : 9% de la biodiversité des mers pour une surface de seulement 1% des océans du monde.
Le biologiste se souvient d’une « immersion dans le Parc national de Port-Cros (Var) pour étudier la grande nacre de Méditerranée, immense et magnifique coquillage bivalve que nos travaux ont contribué à protéger et à sauver. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Pour lui, on a sauvé la mer Méditerranée de la pollution, et il s’en réjouit en vantant ses atouts : « Ses eaux vert et bleu, sa faune et sa flore, ses bancs de girelles et de pointus, ses paysages somptueux de posidonies, de gorgones et d'anémones… elle est incomparable. » Chiffrée, cette richesse se résume à une estimation : 9% de la biodiversité des mers pour une surface de seulement 1% des océans du monde.
Le biologiste se souvient d’une « immersion dans le Parc national de Port-Cros (Var) pour étudier la grande nacre de Méditerranée, immense et magnifique coquillage bivalve que nos travaux ont contribué à protéger et à sauver. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.