Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne de RFI explique qu’en « cinq ans la pollution a grimpé de 8% » et qu’ « environ neuf citadins sur dix sont exposés dans le monde. »
L’OMS a collecté des données dans « 3 000 villes à travers le monde », démontrant ainsi que « la situation est plus dégradée dans les pays en voie de développement, notamment en Afrique. »
Dans les pays pauvres, en majorité africains, « près de neuf villes sur dix de plus de 100 000 habitants ne respectent pas les directives de l’OMS relatives à la qualité de l’air. Dakar par exemple, avec son plus d’un million d’habitants, dépasse de trois fois les limites fixées par l’Organisation sur la concentration des petites et fines particules. »
L’OMS a collecté des données dans « 3 000 villes à travers le monde », démontrant ainsi que « la situation est plus dégradée dans les pays en voie de développement, notamment en Afrique. »
Dans les pays pauvres, en majorité africains, « près de neuf villes sur dix de plus de 100 000 habitants ne respectent pas les directives de l’OMS relatives à la qualité de l’air. Dakar par exemple, avec son plus d’un million d’habitants, dépasse de trois fois les limites fixées par l’Organisation sur la concentration des petites et fines particules. »
Des solutions proposées par l’OMS
Sophie Gumy, collaboratrice scientifique de l’OMS, assure: « Evidemment, il y a plusieurs sources de pollution : l’utilisation de combustibles solides (le bois, les déjections animales, le charbon). Une deuxième source, ce serait le transport. Des villes en Afrique deviennent des mégapoles et les voitures sont encore très polluantes et il n’y a pas toujours de régulation. A Dakar, le niveau est à 34 microgrammes par mètre cube. La valeur limite établie par l’OMS se situe à 10. Cela veut dire qu’ils sont trois fois au-dessus ».
L’article de RFI précise que « limiter les émissions des cheminées industrielles, accroître l’utilisation d’énergie renouvelable, privilégier les transports en commun et les réseaux de pistes cyclables sont les meilleures pistes de solution proposées par l’OMS pour limiter la pollution. »
Sophie Gumy ajoute : « En Afrique du Sud, nous avons une ville à Ermelo où par exemple la pollution de l’air est de 16 microgrammes par mètre cube. Donc c’est la moitié moins qu’à Dakar ; ou encore une autre ville, Middelburg qui est à 13. Donc vous voyez, il y a des villes qui ont des niveaux de pollution un peu au-dessus, mais pas pire que dans d’autres régions du monde ».
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.
L’article de RFI précise que « limiter les émissions des cheminées industrielles, accroître l’utilisation d’énergie renouvelable, privilégier les transports en commun et les réseaux de pistes cyclables sont les meilleures pistes de solution proposées par l’OMS pour limiter la pollution. »
Sophie Gumy ajoute : « En Afrique du Sud, nous avons une ville à Ermelo où par exemple la pollution de l’air est de 16 microgrammes par mètre cube. Donc c’est la moitié moins qu’à Dakar ; ou encore une autre ville, Middelburg qui est à 13. Donc vous voyez, il y a des villes qui ont des niveaux de pollution un peu au-dessus, mais pas pire que dans d’autres régions du monde ».
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.