Source : Pixabay, image libre de droits.
Le commissaire européen à la Santé et à la Sécurité alimentaire Vytenis Andriukaitis,a annoncé sur son compte Twitter : « Prochain vote en appel le 23 juin", soit une semaine seulement avant l'expiration de l'autorisation de la substance sur le territoire de l'UE. »
Un article en ligne du journal Le Vif, d’après une dépêche AFP, explique que « le glyphosate est l'herbicide le plus utilisé dans l'Union, et son utilisation est défendue notamment par le principal syndicat d'agriculteurs européen, le Copa-Cogeca. »
Il précise qu’il est cependant « villipendé par les défenseurs de l'environnement qui s'inquiètent de son effet sur la santé, au nom du principe de précaution. »
Un article en ligne du journal Le Vif, d’après une dépêche AFP, explique que « le glyphosate est l'herbicide le plus utilisé dans l'Union, et son utilisation est défendue notamment par le principal syndicat d'agriculteurs européen, le Copa-Cogeca. »
Il précise qu’il est cependant « villipendé par les défenseurs de l'environnement qui s'inquiètent de son effet sur la santé, au nom du principe de précaution. »
L’autorisation du glyphosate, une décision difficile à prendre
Lundi, « les 28 représentants des Etats membres réunis en comité d'experts n'avaient pas trouvé de majorité décisive pour donner le feu vert à la proposition de la Commission européenne, qui cherche à prolonger l'autorisation du glyphosate pour une période de 12 à 18 mois, en attendant une étude de l'Agence européenne des produits chimiques (Echa). »
L’article précise que « c'est la troisième fois que ces experts se quittaient sans arriver à une décision sur la question », ajoutant que « ces atermoiements ont poussé l'exécutif européen à revoir sa copie, après avoir demandé dans un premier temps un renouvellement pour 15 ans de l'homologation, puis pour 9 ans. »
En outre, « sa dernière proposition s'accompagne également de restrictions, notamment en matière d'utilisation de pesticide à base de glyphosate dans les parcs et jardins publics. »
Sur Twitter, M. Andriukaitis a constaté : « J'appelle les Etats membres à être cohérent et à ne pas se cacher derrière la Commission. »
L’article explique que « le comité d'appel rassemble les Etats membres à un niveau de représentation supérieure à la première instance, sous présidence de la Commission. »
Selon des sources européennes, lors du vote lundi, « un seul Etat membre a voté contre la proposition Malte. La France et l'Allemagne notamment se sont abtenus. Vingt pays ont voté pour la prolongation temporaire de l'autorisation. »
Lire l’intégralité de l’article du Vif ici.
L’article précise que « c'est la troisième fois que ces experts se quittaient sans arriver à une décision sur la question », ajoutant que « ces atermoiements ont poussé l'exécutif européen à revoir sa copie, après avoir demandé dans un premier temps un renouvellement pour 15 ans de l'homologation, puis pour 9 ans. »
En outre, « sa dernière proposition s'accompagne également de restrictions, notamment en matière d'utilisation de pesticide à base de glyphosate dans les parcs et jardins publics. »
Sur Twitter, M. Andriukaitis a constaté : « J'appelle les Etats membres à être cohérent et à ne pas se cacher derrière la Commission. »
L’article explique que « le comité d'appel rassemble les Etats membres à un niveau de représentation supérieure à la première instance, sous présidence de la Commission. »
Selon des sources européennes, lors du vote lundi, « un seul Etat membre a voté contre la proposition Malte. La France et l'Allemagne notamment se sont abtenus. Vingt pays ont voté pour la prolongation temporaire de l'autorisation. »
Lire l’intégralité de l’article du Vif ici.