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Le dénuement et l’incertitude qui étaient palpables il y a quelques mois ne sont plus de mise. Dans les hôpitaux qui continuent à recevoir les cas graves d’infection au Covid-19, les soignants semblent avoir mis en place des réflexes. « « Beaucoup de progrès ont été faits », assure le Pr Éric Maury, président de la Société de réanimation de langue française (SRLF). « La survie s’est considérablement améliorée aux États-Unis, dans tous les groupes d’âge », renchérit Daniel Griffin, chef des maladies infectieuses chez ProHEALTH, groupe d’un millier de médecins présents dans 22 hôpitaux de la région de New York » rapporte La Voix du Nord .
Le quotidien local fait un tour d’horizon des traitements et médicaments qui sont utilisés par les médecins. Le binôme corticoïdes et anticoagulants est ainsi mis en avant par plusieurs équipes en premières lignes. Les premiers servant à lutter contre les inflammations qui se développent dans le cas graves quand les seconds permettent de lutter contre les caillots de sang qui sont une des complications graves observées.
Quant à l’hydroxychloroquine à propos de laquelle le débat n’est toujours pas clos, les professionnels interrogés par La Voix du Nord n’en ont pas eu recours. Mais observent en revanche que le recours aux intubations est moins automatique qu’auparavant : « Au-delà des médicaments, de gros progrès ont été faits dans la prise en charge respiratoire des patients les plus touchés, qui sont en réanimation. « Au début, on intubait les patients très vite. Maintenant, on fait tout pour éviter l’intubation », résume Kiersten Henry, infirmière à l’hôpital MedStar d’Olney (Maryland). « On a vite réalisé que les patients qu’on plaçait sous respirateur artificiel avaient très peu de chances de survie », se souvient le Pr Griffin. »
Lire en intégralité l’article de La Voix du Nord cité
Le quotidien local fait un tour d’horizon des traitements et médicaments qui sont utilisés par les médecins. Le binôme corticoïdes et anticoagulants est ainsi mis en avant par plusieurs équipes en premières lignes. Les premiers servant à lutter contre les inflammations qui se développent dans le cas graves quand les seconds permettent de lutter contre les caillots de sang qui sont une des complications graves observées.
Quant à l’hydroxychloroquine à propos de laquelle le débat n’est toujours pas clos, les professionnels interrogés par La Voix du Nord n’en ont pas eu recours. Mais observent en revanche que le recours aux intubations est moins automatique qu’auparavant : « Au-delà des médicaments, de gros progrès ont été faits dans la prise en charge respiratoire des patients les plus touchés, qui sont en réanimation. « Au début, on intubait les patients très vite. Maintenant, on fait tout pour éviter l’intubation », résume Kiersten Henry, infirmière à l’hôpital MedStar d’Olney (Maryland). « On a vite réalisé que les patients qu’on plaçait sous respirateur artificiel avaient très peu de chances de survie », se souvient le Pr Griffin. »
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