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« Les villes et régions expriment leur soutien au mouvement des « Jeunes pour le Climat » et appellent l'UE à revoir à la hausse ses ambitions pour maintenir le réchauffement en dessous de 2 °C » commence le communiqué du Comité européen des régions (CER). Alors que le mouvement des jeunes pour le climat prend de l’ampleur médiatique et militant, l’organisation de représentation des régions veut en profiter pour rappeler son engagement dans le domaine.
« Les villes et les régions de l'UE expriment leur soutien aux mouvements de protestation de la « Grève mondiale pour l'avenir », qui devraient rassembler le 15 mars des centaines de milliers de jeunes réclamant des mesures d'urgence pour lutter contre le réchauffement climatique. Au cours du Sommet européen des régions et des villes organisé à Bucarest, les élus locaux et régionaux ont réitéré leur appel pour que l'UE s'engage à maintenir le réchauffement climatique nettement en dessous de 2 °C et à parvenir à une Europe neutre en carbone d'ici 2050 » poursuit le texte.
Concernant l’urgence climatique, le CER rappelle que les signaux d’alarme scientifiques se sont multipliés : « Le dernier rapport scientifique sur le changement climatique, publié par le GIEC en novembre 2018, montre qu'il reste moins de 20 ans pour éviter une catastrophe climatique qui rendra le réchauffement planétaire hors de contrôle. Les scientifiques préviennent que, si les tendances actuelles se poursuivent, les températures mondiales s'élèveront de 3 °C d'ici à 2100, ce qui entraînera des dommages irréversibles pour la biodiversité et la survenue de situations météorologiques extrêmes. »
En joignant l’effort de la jeunesse et en appelant l’UE à s’activer, les régions démontrent que la question climatique doit être traitée par tous les échelons en simultanée. « C'est au niveau local que la lutte contre le changement climatique sera gagnée. Les villes et les régions vont au-delà des ambitions affichées au niveau national. L'UE s'est fixé des objectifs et augmente ses investissements, mais ce n'est toujours pas suffisant » a déclaré le président du CER.
« Les villes et les régions de l'UE expriment leur soutien aux mouvements de protestation de la « Grève mondiale pour l'avenir », qui devraient rassembler le 15 mars des centaines de milliers de jeunes réclamant des mesures d'urgence pour lutter contre le réchauffement climatique. Au cours du Sommet européen des régions et des villes organisé à Bucarest, les élus locaux et régionaux ont réitéré leur appel pour que l'UE s'engage à maintenir le réchauffement climatique nettement en dessous de 2 °C et à parvenir à une Europe neutre en carbone d'ici 2050 » poursuit le texte.
Concernant l’urgence climatique, le CER rappelle que les signaux d’alarme scientifiques se sont multipliés : « Le dernier rapport scientifique sur le changement climatique, publié par le GIEC en novembre 2018, montre qu'il reste moins de 20 ans pour éviter une catastrophe climatique qui rendra le réchauffement planétaire hors de contrôle. Les scientifiques préviennent que, si les tendances actuelles se poursuivent, les températures mondiales s'élèveront de 3 °C d'ici à 2100, ce qui entraînera des dommages irréversibles pour la biodiversité et la survenue de situations météorologiques extrêmes. »
En joignant l’effort de la jeunesse et en appelant l’UE à s’activer, les régions démontrent que la question climatique doit être traitée par tous les échelons en simultanée. « C'est au niveau local que la lutte contre le changement climatique sera gagnée. Les villes et les régions vont au-delà des ambitions affichées au niveau national. L'UE s'est fixé des objectifs et augmente ses investissements, mais ce n'est toujours pas suffisant » a déclaré le président du CER.