Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal 20Minutes, d’après une dépêche AFP, explique qu’alors que « la décrue est bien entamée (la Seine est passée sous les 5 mètres), le bilan des inondations qui ont touché l’Ile-de-France fait état d’un risque de pollution. »
Vincent Rocher, responsable expertise du Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP), assure : « en temps normal à cette période, nous traitons 2,5 millions de mètres cubes d’eau par jour, explique Entre le 29 mai et le 5 juin, la moyenne était à 4 millions par jour, avec un pic au-dessus de 5 millions le 30 mai. »
Il ajoute que dans ces conditions, « le travail a été forcément partiel. Six millions de mètres cubes ont été rejetés sans traitement. »
Vincent Rocher, responsable expertise du Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP), assure : « en temps normal à cette période, nous traitons 2,5 millions de mètres cubes d’eau par jour, explique Entre le 29 mai et le 5 juin, la moyenne était à 4 millions par jour, avec un pic au-dessus de 5 millions le 30 mai. »
Il ajoute que dans ces conditions, « le travail a été forcément partiel. Six millions de mètres cubes ont été rejetés sans traitement. »
Une aggravation de la qualité de l’eau
Vincent Rocher précise : « Le niveau d’oxygénation est resté bon, de même que la concentration en azote et en phosphore. La dégradation n’a été que ponctuelle : nous avons par exemple flirté avec 1 milligramme d’amonium par litre, là où la directive européenne impose 0,5 mg/litre. »
Cependant, il s’agit d’un « taux à relativiser, d’une part car il est revenu à la normale, d’autre part car avant 2007 et un plan de modernisation, il était en moyenne autour de 5 mg/L. »
Véronique Heim, directrice des études au Syndicat des eaux d’Ile-de-France ajoute : « Il y a bien eu une aggravation de la qualité de l’eau dans les fleuves, la Seine, l’Oise et la Marne, mais nous avons ajusté nos traitements et l’eau délivrée au robinet est restée parfaitement potable »
Quant à Célia Blauel, adjointe à la mairie de Paris chargée de l’environnement, elle souligne enfin que « l’eau de la Seine devrait retrouver son état pré-crue d’ici 3 à 4 semaines.» Elle ajoute que « l’événement ne bouleverse en rien le projet visant à y permettre la baignade dès 2024. »
Lire l’intégralité de l’article de 20Minutes ici.
Cependant, il s’agit d’un « taux à relativiser, d’une part car il est revenu à la normale, d’autre part car avant 2007 et un plan de modernisation, il était en moyenne autour de 5 mg/L. »
Véronique Heim, directrice des études au Syndicat des eaux d’Ile-de-France ajoute : « Il y a bien eu une aggravation de la qualité de l’eau dans les fleuves, la Seine, l’Oise et la Marne, mais nous avons ajusté nos traitements et l’eau délivrée au robinet est restée parfaitement potable »
Quant à Célia Blauel, adjointe à la mairie de Paris chargée de l’environnement, elle souligne enfin que « l’eau de la Seine devrait retrouver son état pré-crue d’ici 3 à 4 semaines.» Elle ajoute que « l’événement ne bouleverse en rien le projet visant à y permettre la baignade dès 2024. »
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