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Ceux qui choisissait une chaine de restauration rapide plutôt qu’une autre parce qu’elle proposait le « refill » vont devoir trouver d’autres critères de sélection. A partir du vendredi 21 janvier la France interdit les fontaines à soda. « La liste des boissons concernées par l'arrêté comprend les boissons gazeuses et non gazeuses aromatisées, les concentrés comme les sirops de fruits, les boissons à base d'eau, de lait, de céréales, de légumes ou de fruits y compris les boissons pour sportifs ou les boissons énergisantes, les nectars de fruits, les nectars de légumes et produits similaires, dès lors que ces boissons contiennent des sucres ajoutés ou des édulcorants de synthèse. Les lieux de restauration publique ainsi que les établissements scolaires sont concernés, et doivent appliquer cette mesure à partir d'aujourd'hui » résume Le Figaro.
Votée en avril 2015 à l’Assemblée nationale et inclue à la loi santé de janvier 2016, la mesure a été publiée au Journal Officiel le 26 janvier 2017. Elle vient appuyer la taxe sur les boissons sucrées en vigueur depuis 2012 dans le dispositif législatif que vise à lutter contre le surpoids, l’obésité et le diabète.
« En Europe, près d'un adulte sur six est considéré comme obèse, selon une enquête menée par Eurostat en 2014. En France, le taux d'obésité ches les plus de 18 ans correspond quasiment à la moyenne du Vieux Continent pour s'établir à 15,3% » ajoute le quotidien français. D’après une autre étude européenne citée par le journal, en France 1,7 million d’enfant seraient touchés par des problèmes de surpoids. « Selon les calculs du Trésor, la surcharge pondérale a eu un coût social de 20 milliards d'euros en 2012, soit 1% de PIB. Par individu, le coût social des personnes obèses est de 1300 euros par an et de 360 euros pour les personnes en surpoids » conclue l’article.
Votée en avril 2015 à l’Assemblée nationale et inclue à la loi santé de janvier 2016, la mesure a été publiée au Journal Officiel le 26 janvier 2017. Elle vient appuyer la taxe sur les boissons sucrées en vigueur depuis 2012 dans le dispositif législatif que vise à lutter contre le surpoids, l’obésité et le diabète.
« En Europe, près d'un adulte sur six est considéré comme obèse, selon une enquête menée par Eurostat en 2014. En France, le taux d'obésité ches les plus de 18 ans correspond quasiment à la moyenne du Vieux Continent pour s'établir à 15,3% » ajoute le quotidien français. D’après une autre étude européenne citée par le journal, en France 1,7 million d’enfant seraient touchés par des problèmes de surpoids. « Selon les calculs du Trésor, la surcharge pondérale a eu un coût social de 20 milliards d'euros en 2012, soit 1% de PIB. Par individu, le coût social des personnes obèses est de 1300 euros par an et de 360 euros pour les personnes en surpoids » conclue l’article.