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On parle beaucoup de la Silicon Valley et on parle beaucoup de parité, mais rarement des deux en même temps. Il y a de quoi s’interroger pourtant. Un article du journal « Les Echos », s’appuyant sur les chiffres d’un rapport du National Center for Women & Information Technology s’intéresse à une situation toute particulière. « 23 % de femmes chez Apple, 19 % chez Google, 17 % chez Facebook... Dans la Silicon Valley, les postes tech sont en grande majorité occupés par des hommes. Le monopole masculin est encore plus fort pour les inventions : entre 1980 et 2010, 88 % des brevets liés aux technologies de l'information ont été déposés par des équipes entièrement composées d'hommes, selon un récent rapport du National Center for Women & Information Technology » commence l’article.
Face aux exigences de la parité, ces géants des nouvelles technologies ne cherchent pas faire l’impasse pourtant. Elles expliquent qu’elles rencontrent des difficultés à recruter des femmes pour équilibrer les proportions du fait même que ces dernières semblent moins intéressées par les études liées à ce secteur. « Car, après avoir progressé pendant vingt ans pour atteindre 37 % des étudiants en licence d'informatique en 1984, la proportion de femmes dans ces filières a reculé, pour stagner à 18 % aujourd'hui. Plusieurs chercheurs lient cette inversion de tendance à l'arrivée d'ordinateurs personnels commercialisés comme des objets destinés aux garçons » précise Le Monde.
Pour le journal, cette situation s’explique aussi par le fait qu’aucune star du secteur n’est une femme : « L'une des conséquences de ce recul est le manque de figures inspirantes donnant envie aux filles d'étudier l'informatique. Les rares femmes à des positions élevées dans la Silicon Valley sont Sheryl Sandberg, la directrice opérationnelle de Facebook, Meg Whitman, la PDG d'Hewlett-Packard, Safra Catz, l'une des deux PDG d'Oracle, et Marissa Meyer, la PDG de Yahoo! Pour certains, l'échec de cette dernière est plus retentissant car les femmes sont jugées plus durement. »
Lire ici en intégralité l’article du journal Le Monde
Face aux exigences de la parité, ces géants des nouvelles technologies ne cherchent pas faire l’impasse pourtant. Elles expliquent qu’elles rencontrent des difficultés à recruter des femmes pour équilibrer les proportions du fait même que ces dernières semblent moins intéressées par les études liées à ce secteur. « Car, après avoir progressé pendant vingt ans pour atteindre 37 % des étudiants en licence d'informatique en 1984, la proportion de femmes dans ces filières a reculé, pour stagner à 18 % aujourd'hui. Plusieurs chercheurs lient cette inversion de tendance à l'arrivée d'ordinateurs personnels commercialisés comme des objets destinés aux garçons » précise Le Monde.
Pour le journal, cette situation s’explique aussi par le fait qu’aucune star du secteur n’est une femme : « L'une des conséquences de ce recul est le manque de figures inspirantes donnant envie aux filles d'étudier l'informatique. Les rares femmes à des positions élevées dans la Silicon Valley sont Sheryl Sandberg, la directrice opérationnelle de Facebook, Meg Whitman, la PDG d'Hewlett-Packard, Safra Catz, l'une des deux PDG d'Oracle, et Marissa Meyer, la PDG de Yahoo! Pour certains, l'échec de cette dernière est plus retentissant car les femmes sont jugées plus durement. »
Lire ici en intégralité l’article du journal Le Monde