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Identifier les sources d’émissions qui progressent est essentiel pour une meilleure anticipation. C’est la tâche à laquelle se sont attelés l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep) et l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (Ademe). Les deux organismes publics viennent de publier une étude dédiée aux émissions de gaz à effet de serre causées par le numérique.
« Elles représentent aujourd'hui 3 à 4% des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Les Français les utilisent au quotidien, en permanence et pourtant leur impact sur la planète est particulièrement coûteux. En France, en moyenne, un citoyen possède 15 équipements connectés, un chiffre bien supérieur à la moyenne mondiale qui s'établit à huit. Une mauvaise habitude qui pourrait coûter cher à la Terre dans les années à venir : selon une étude conjointe menée par l'Arcep et l'Ademe, dont le troisième volet a été remis lundi 6 mars au gouvernement, les émissions de gaz à effet de serre dues aux usages numériques des Français pourraient être multipliés par deux d'ici 2030 et par trois d'ici 2050 » explique TF1, dans un article qui accompagne un reportage.
En 2020, 17 millions de tonnes équivalent CO2 étaient causées par le numérique. « Dans le scénario futur présenté par les deux organismes, (l’empreinte) augmenterait de 187% à l'horizon 2050, la consommation de métaux et de minéraux de 59% et la consommation énergétique de 79%. La croissance attendue des usages demanderait aussi la création de nouveaux centres de données qui représenteraient à cette échéance 22% des émissions », continue l’article de la chaine de télévision.
Les deux organismes avancent quatre scénarios concernant l’évolution des émissions de CO2 en fonction des évolutions technologiques avec l’accent mis sur la sobriété énergétique. Autre variable centrale concernant la sobriété numérique, le recyclage des appareils et la lutte contre l’obsolescence programmée pour lutter aussi contre les déchets numériques qui explosent.
« Elles représentent aujourd'hui 3 à 4% des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Les Français les utilisent au quotidien, en permanence et pourtant leur impact sur la planète est particulièrement coûteux. En France, en moyenne, un citoyen possède 15 équipements connectés, un chiffre bien supérieur à la moyenne mondiale qui s'établit à huit. Une mauvaise habitude qui pourrait coûter cher à la Terre dans les années à venir : selon une étude conjointe menée par l'Arcep et l'Ademe, dont le troisième volet a été remis lundi 6 mars au gouvernement, les émissions de gaz à effet de serre dues aux usages numériques des Français pourraient être multipliés par deux d'ici 2030 et par trois d'ici 2050 » explique TF1, dans un article qui accompagne un reportage.
En 2020, 17 millions de tonnes équivalent CO2 étaient causées par le numérique. « Dans le scénario futur présenté par les deux organismes, (l’empreinte) augmenterait de 187% à l'horizon 2050, la consommation de métaux et de minéraux de 59% et la consommation énergétique de 79%. La croissance attendue des usages demanderait aussi la création de nouveaux centres de données qui représenteraient à cette échéance 22% des émissions », continue l’article de la chaine de télévision.
Les deux organismes avancent quatre scénarios concernant l’évolution des émissions de CO2 en fonction des évolutions technologiques avec l’accent mis sur la sobriété énergétique. Autre variable centrale concernant la sobriété numérique, le recyclage des appareils et la lutte contre l’obsolescence programmée pour lutter aussi contre les déchets numériques qui explosent.