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Le sixième rapport d’évaluation du GIEC progresse. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) vient de se réunir à Paris au siège de l’UNESCO. L’objectif était de discuter des principaux points qui seront abordé dans ce rapport qui est attendu pour 2022. « La cérémonie d'ouverture a rassemblé des représentants de gouvernements et des chefs d'agences des Nations unies*. Ceux-ci ont souligné l'importance de fournir une base scientifique solide pour développer des politiques climatiques fortes. L'ouverture de la session a été suivie d'une table ronde sur le rôle des systèmes de connaissances pour améliorer l'action en faveur du climat » explique le communiqué de l’UNESCO.
« Le rapport de synthèse intégrera toutes les informations que le GIEC prépare dans ses rapports spéciaux et d'évaluation actuels afin de fournir aux décideurs politiques les informations les plus récentes sur le changement climatique », a assuré le président du groupe d’experts, Hoesung Lee.
Ce sixième rapport doit être rendu public au début de l’année 2022. Il servira de document de référence dans l’évaluation d’un premier bilan de l’accord de Paris en 2023, soit huit ans après l’accord. « Le travail du GIEC est d'une importance capitale ici. Et l'UNESCO, en tant qu'hôte du GIEC-52, est déterminée à s'appuyer sur son expertise scientifique, ainsi que sur le travail et l'expérience de ses réserves de biosphère, de ses sites du patrimoine naturel et de ses programmes éducatifs, pour mener la transformation dont nous avons besoin pour les populations et la planète » a déclaré de son côté Audrey Azoulay, la directrice de l’institution internationale basée à Paris.
« Ces dernières années, il y a eu des incendies de forêt, des ouragans et des sécheresses sans précédent, amplifiés par le changement climatique. Des événements moins extrêmes ne sont pas couverts par les médias mais menacent néanmoins des communautés entières. D'éminents scientifiques, des experts du climat, des responsables de la jeunesse et des représentants des peuples autochtones, qui ont une connaissance de première main des questions climatiques, se sont penchés sur les solutions qui s'offrent à nous, sur les moyens de susciter l'ambition d'une action plus efficace en matière de climat, ainsi que sur le rôle et les contributions de la science et du savoir » plaide le communiqué de l’UNESCO.
« Le rapport de synthèse intégrera toutes les informations que le GIEC prépare dans ses rapports spéciaux et d'évaluation actuels afin de fournir aux décideurs politiques les informations les plus récentes sur le changement climatique », a assuré le président du groupe d’experts, Hoesung Lee.
Ce sixième rapport doit être rendu public au début de l’année 2022. Il servira de document de référence dans l’évaluation d’un premier bilan de l’accord de Paris en 2023, soit huit ans après l’accord. « Le travail du GIEC est d'une importance capitale ici. Et l'UNESCO, en tant qu'hôte du GIEC-52, est déterminée à s'appuyer sur son expertise scientifique, ainsi que sur le travail et l'expérience de ses réserves de biosphère, de ses sites du patrimoine naturel et de ses programmes éducatifs, pour mener la transformation dont nous avons besoin pour les populations et la planète » a déclaré de son côté Audrey Azoulay, la directrice de l’institution internationale basée à Paris.
« Ces dernières années, il y a eu des incendies de forêt, des ouragans et des sécheresses sans précédent, amplifiés par le changement climatique. Des événements moins extrêmes ne sont pas couverts par les médias mais menacent néanmoins des communautés entières. D'éminents scientifiques, des experts du climat, des responsables de la jeunesse et des représentants des peuples autochtones, qui ont une connaissance de première main des questions climatiques, se sont penchés sur les solutions qui s'offrent à nous, sur les moyens de susciter l'ambition d'une action plus efficace en matière de climat, ainsi que sur le rôle et les contributions de la science et du savoir » plaide le communiqué de l’UNESCO.