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Pas de solutions miracles mais un résumé de ce qui fonctionne. La FAO a publié un communiqué avec cinq recommandations pour limiter les déchets plastiques dans les océans. « Le plastique est tellement présent dans nos vies que nous ne le remarquons même plus. C'est pratique. C'est bon marché. C'est omniprésent. Malheureusement, plus de 70% du plastique que nous utilisons n'est pas recyclé. Une grande partie de ces déchets plastiques sont emportés dans nos océans depuis les plages ou dans les rivières par les rues » commence le texte.
Soulignant les effets délétères des microplastiques qui envahissent les océans puis les aliments, la FAO justifie ainsi son engagement. « Bien que les filets de poisson et les gros poissons soient deux des principaux produits de la pêche consommés, ils ne constituent pas une source importante de microplastiques, car l'intestin, où se trouvent la plupart des microplastiques, n'est généralement pas consommé. Les petits poissons, les crustacés et les mollusques, en revanche, sont souvent consommés entiers. Ce sont là des sujets de préoccupation potentiels lorsqu'on parle de notre exposition alimentaire aux microplastiques et aux substances chimiques associées. Jusqu'à présent, les effets des microplastiques sur la santé humaine semblent négligeables. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires » lit-on plus loin.
Raison pour laquelle l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture liste cinq moyens pour limiter la prolifération des plastiques. : éviter les plastiques à usage unique, reconnaitre les microplastiques, utiliser une bouteille d’eau réutilisable, refuser les couverts ou pailles en plastique et recycler. « La promotion de pratiques durables dans les domaines des océans, des rivières, de la pêche et de l'aquaculture est une priorité pour la FAO. On estime que 10 à 12% des gens sur terre dépendent de la pêche et de l'aquaculture pour leur subsistance. La consommation de poisson par habitant est passée de 10 kilogrammes dans les années 1960 à plus de 20 kilogrammes en 2016, ce qui signifie que la demande de fruits de mer augmente alors même que ces ressources sont de plus en plus menacées. La commodité du plastique vaut-elle vraiment la peine pour que nous sacrifions l'avenir de nos océans et de notre vie marine ? Protégeons nos lacs, nos rivières et nos océans de la pollution et de ses effets sur la vie aquatique » argumente l’organisation internationale.
Soulignant les effets délétères des microplastiques qui envahissent les océans puis les aliments, la FAO justifie ainsi son engagement. « Bien que les filets de poisson et les gros poissons soient deux des principaux produits de la pêche consommés, ils ne constituent pas une source importante de microplastiques, car l'intestin, où se trouvent la plupart des microplastiques, n'est généralement pas consommé. Les petits poissons, les crustacés et les mollusques, en revanche, sont souvent consommés entiers. Ce sont là des sujets de préoccupation potentiels lorsqu'on parle de notre exposition alimentaire aux microplastiques et aux substances chimiques associées. Jusqu'à présent, les effets des microplastiques sur la santé humaine semblent négligeables. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires » lit-on plus loin.
Raison pour laquelle l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture liste cinq moyens pour limiter la prolifération des plastiques. : éviter les plastiques à usage unique, reconnaitre les microplastiques, utiliser une bouteille d’eau réutilisable, refuser les couverts ou pailles en plastique et recycler. « La promotion de pratiques durables dans les domaines des océans, des rivières, de la pêche et de l'aquaculture est une priorité pour la FAO. On estime que 10 à 12% des gens sur terre dépendent de la pêche et de l'aquaculture pour leur subsistance. La consommation de poisson par habitant est passée de 10 kilogrammes dans les années 1960 à plus de 20 kilogrammes en 2016, ce qui signifie que la demande de fruits de mer augmente alors même que ces ressources sont de plus en plus menacées. La commodité du plastique vaut-elle vraiment la peine pour que nous sacrifions l'avenir de nos océans et de notre vie marine ? Protégeons nos lacs, nos rivières et nos océans de la pollution et de ses effets sur la vie aquatique » argumente l’organisation internationale.