Crédits photo dgcis - Commission Innovation 2030
L’ex-présidente d’Aréva a remis au Président de la République le rapport intitulé « Un principe et sept ambitions pour l’innovation ». Anne Laubergeon a présenté le rapport en qualité de présidente de la commission Innovation 2030 qui a travaillé sur la rédaction du document. L’étude (disponible ici) est résumée par ses rédacteurs comme la somme « d’ambitions fortes, reposant sur des innovations majeures, pour assurer à la France prospérité et emploi sur le long terme. »
Parmi les sept ambitions élaborées par la commission Innovation 2013 que Anne Lauvergeon dirige, quatre concernent l’environnement : stockage de l’énergie recyclage des métaux rares, valorisation des richesses marines, protéines et chimie du végétale.
Parmi les sept ambitions élaborées par la commission Innovation 2013 que Anne Lauvergeon dirige, quatre concernent l’environnement : stockage de l’énergie recyclage des métaux rares, valorisation des richesses marines, protéines et chimie du végétale.
Prise en compte d'un concept international complexe
La commission Innovation 2030 justifie le choix des sept piliers de l’innovation sur « les attentes sociétales fortes, en croissance – préoccupation pour la planète, vision plus « individualiste » du citoyen-consommateur, responsabilité individuelle assure ».
L’intérêt du rapport tient plus à sa volonté d’être réaliste et à prendre en compte les difficultés économiques et internationales autant que les enjeux environnementaux. Ainsi, les rédacteurs du rapport affirment avoir tenu à s’engager dans « la prise en compte d’un contexte international complexe – potentiel économique des pays émergents, allongement de la durée de la vie, urbanisation croissante, tensions probables pour l'accès à l'eau potable, à l'énergie et aux matières première, effets croissants du changement climatique. »
L’intérêt du rapport tient plus à sa volonté d’être réaliste et à prendre en compte les difficultés économiques et internationales autant que les enjeux environnementaux. Ainsi, les rédacteurs du rapport affirment avoir tenu à s’engager dans « la prise en compte d’un contexte international complexe – potentiel économique des pays émergents, allongement de la durée de la vie, urbanisation croissante, tensions probables pour l'accès à l'eau potable, à l'énergie et aux matières première, effets croissants du changement climatique. »