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Ça a tellement bien fonctionné que les finances publiques ont commencé à tiquer. En un mois, 200 000 primes à la conversion du plan de relance de l’automobile ont été écoulées. « Si la prolongation de la prime à la conversion, « attractive pour accélérer la baisse des émissions de CO2 et le renouvellement du parc automobile français» selon Bercy, est bien actée, les modalités du dispositif sont désormais moins généreuses » explique Le Figaro .
Depuis lundi 3 aout, le montant de la prime, sans inclure le bonus écologique est limité à 5 000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride. Tenant compte des revenus, ce système a aussi une vocation sociale pour que les personnes les plus modestes puissent accéder à ces voitures propres, réputées plus chères.
« Pour rappel, la prime à la conversion est octroyée pour remplacer des véhicules classés Crit'Air 3 ou plus anciens, c'est-à-dire les véhicules à essence immatriculés avant 2006 et les véhicules diesel immatriculés avant 2011. Allant de 1500 à 2500 euros pour l'achat d'un véhicule Crit'air 1 ou 2, le montant de la prime à la conversion selon le nouveau système dépend du revenu fiscal de référence (RFR) du demandeur et du type de véhicule acheté. Le montant est ainsi presque réduit de moitié par rapport à la valeur de la prime à la conversion mise en place dans le cadre du plan de relance (entre 3000 et 5000 euros) » appuie Le Figaro.
Le succès a été tel, que le gouvernement s’est retrouvé au pied du mur. Impossible de mettre un terme à un plan aussi plébiscité et porté dans le cadre d’une politique d’accompagnement de la relance par a transition écologique. Mais à ce rythme, 200 000 primes par mois, le coût de la mesure aurait été faramineux. D’autant qu’avec le cumul du bonus écologique, les ménages les plus modestes pouvaient être soutenus à hauteur de 11 000 euros.
Depuis lundi 3 aout, le montant de la prime, sans inclure le bonus écologique est limité à 5 000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride. Tenant compte des revenus, ce système a aussi une vocation sociale pour que les personnes les plus modestes puissent accéder à ces voitures propres, réputées plus chères.
« Pour rappel, la prime à la conversion est octroyée pour remplacer des véhicules classés Crit'Air 3 ou plus anciens, c'est-à-dire les véhicules à essence immatriculés avant 2006 et les véhicules diesel immatriculés avant 2011. Allant de 1500 à 2500 euros pour l'achat d'un véhicule Crit'air 1 ou 2, le montant de la prime à la conversion selon le nouveau système dépend du revenu fiscal de référence (RFR) du demandeur et du type de véhicule acheté. Le montant est ainsi presque réduit de moitié par rapport à la valeur de la prime à la conversion mise en place dans le cadre du plan de relance (entre 3000 et 5000 euros) » appuie Le Figaro.
Le succès a été tel, que le gouvernement s’est retrouvé au pied du mur. Impossible de mettre un terme à un plan aussi plébiscité et porté dans le cadre d’une politique d’accompagnement de la relance par a transition écologique. Mais à ce rythme, 200 000 primes par mois, le coût de la mesure aurait été faramineux. D’autant qu’avec le cumul du bonus écologique, les ménages les plus modestes pouvaient être soutenus à hauteur de 11 000 euros.