ILD
La société RobecoSAM a publié comme chaque année depuis 1999, son classement des entreprises les plus performantes en mêlant critères économiques, environnementaux et sociaux. « Pour établir cet indice, RobecoSAM a interrogé chaque entreprise sur 21 thématiques couvrant l’ensemble de leurs activités. Et cette année, l’automobile domine le classement puisque neuf acteurs du secteur en détiennent les neuf premières places » rapporte Auto Infos.
BMW, champion incontesté
Outre l’entrée au classement de PSA (huitième) et Valeo (neuvième), on remarque l’entrée de Bridgestone directement à la deuxième place. Michelin de son côté chute un peu en prenant la troisième place derrière son concurrent.
A la première place on trouve de nouveau BMW, « Membre depuis 2001 du Programme des Nations Unies pour l’environnement, le groupe allemand a réduit de 40 % ses émissions de CO2 de ses nouveaux modèles vendus en Europe entre 1995 et 2015. Avec, à la clé, un taux moyen de rejet de 127 g en Europe, 147 g dans le monde. Un résultat permis par sa gamme électrifiée composée de sept modèles » explique l’article.
Par ailleurs, « Côté production, le groupe promeut l’utilisation des énergies renouvelables avec 58 % de l’électricité achetée issue de sources renouvelables et privilégie des camions électriques de 40 tonnes pour le transport de matériaux sur le réseau routier public. Mais cette politique de RSE impacte aussi les fournisseurs : 1 900 d’entre eux ont été évalués via un questionnaire relatif au développement durable dans l’industrie. Du côté de l’emprunte sociale, le constructeur allemand est aussi à la pointe avec 352 millions d’euros dépensés dans des programmes éducatifs et l’embauche de 1 500 apprentis.
Inutile de rappeler que Volkswagen n’apparait plus dans le classement. Dès la révélation du scandale de la fraude des émissions, RobecoSAM avait en effet publié un communiqué « À compter du 6 octobre, 2015, la société Volkswagen AG (VW) sera retirée des indices de durabilité Dow Jones (DJSI).(…) En conséquence, la société VW ne sera plus identifiée comme leader de son industrie, dans le secteur « Automobiles & Composants ». »
A la première place on trouve de nouveau BMW, « Membre depuis 2001 du Programme des Nations Unies pour l’environnement, le groupe allemand a réduit de 40 % ses émissions de CO2 de ses nouveaux modèles vendus en Europe entre 1995 et 2015. Avec, à la clé, un taux moyen de rejet de 127 g en Europe, 147 g dans le monde. Un résultat permis par sa gamme électrifiée composée de sept modèles » explique l’article.
Par ailleurs, « Côté production, le groupe promeut l’utilisation des énergies renouvelables avec 58 % de l’électricité achetée issue de sources renouvelables et privilégie des camions électriques de 40 tonnes pour le transport de matériaux sur le réseau routier public. Mais cette politique de RSE impacte aussi les fournisseurs : 1 900 d’entre eux ont été évalués via un questionnaire relatif au développement durable dans l’industrie. Du côté de l’emprunte sociale, le constructeur allemand est aussi à la pointe avec 352 millions d’euros dépensés dans des programmes éducatifs et l’embauche de 1 500 apprentis.
Inutile de rappeler que Volkswagen n’apparait plus dans le classement. Dès la révélation du scandale de la fraude des émissions, RobecoSAM avait en effet publié un communiqué « À compter du 6 octobre, 2015, la société Volkswagen AG (VW) sera retirée des indices de durabilité Dow Jones (DJSI).(…) En conséquence, la société VW ne sera plus identifiée comme leader de son industrie, dans le secteur « Automobiles & Composants ». »