(Pixabay)
Le label « fait-maison » est désormais un signe officiel permettant aux clients d'un restaurant d'identifier les plats cuisinés sur place à partir de produits bruts. Le consommateur pourra ainsi distinguer un plat « fait-maison » d'un plat industriel simplement transformé ou réchauffé en cuisine. A noter qu’« un produit brut […] est un produit alimentaire n’ayant subi aucune modification importante, y compris par chauffage, marinage, assemblage ou une combinaison de ces procédés », selon le texte publié au Journal officiel.
Selon le décret, peuvent entrer dans la composition d’un plat « fait-maison » les produits épluchés, pelés, tranchés, coupés, découpés, hachés, nettoyés, désossés, dépouillés, décortiqués, taillés, moulus ou broyés, mais également fumés, salés, réfrigérés, congelés, surgelés et conditionnés sous vide. Le label ne récompense donc pas les restaurants qui cuisinent des produits frais, mais bien uniquement ceux qui élaborent leurs plats sur place.
La mise en place de ce dispositif, jugé incohérent selon certains établissements, divise le monde de la restauration. Pour le président de la branche restauration au sein de l'Union des Métiers de des Industries de l‘Hôtellerie (UMIH), principale organisation patronale de l'hôtellerie-restauration, « le seul titre qui valorise la cuisine 100 % fait-maison et servie à table », c'est celui de « Maître Restaurateur ».
Selon le décret, peuvent entrer dans la composition d’un plat « fait-maison » les produits épluchés, pelés, tranchés, coupés, découpés, hachés, nettoyés, désossés, dépouillés, décortiqués, taillés, moulus ou broyés, mais également fumés, salés, réfrigérés, congelés, surgelés et conditionnés sous vide. Le label ne récompense donc pas les restaurants qui cuisinent des produits frais, mais bien uniquement ceux qui élaborent leurs plats sur place.
La mise en place de ce dispositif, jugé incohérent selon certains établissements, divise le monde de la restauration. Pour le président de la branche restauration au sein de l'Union des Métiers de des Industries de l‘Hôtellerie (UMIH), principale organisation patronale de l'hôtellerie-restauration, « le seul titre qui valorise la cuisine 100 % fait-maison et servie à table », c'est celui de « Maître Restaurateur ».