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Pour les enfants et adolescents concernés et pour leurs familles, le harcèlement scolaire est un sujet très sérieux. Cantonnés des années à un sujet de film ou de mauvais souvenirs pour une part importante de personnes, les réseaux sociaux ont donné une ampleur toute particulière au phénomène. « Emmanuel Macron a annoncé, à l’occasion de la Journée nationale de mobilisation contre le harcèlement scolaire, jeudi 18 novembre, de nouvelles mesures pour la protection des victimes et pour « que la honte change de camp ». Parmi les annonces figurent le renforcement du contrôle parental sur les écrans utilisés par les enfants et la création d’une nouvelle application pour aider les victimes à dénoncer les faits, en plus du numéro vert déjà consacré aux signalements, le 3018 » avance l’Agence France presse.
S’il y avait déjà des mesures, le président de la République estime que ce n’est vraisemblablement pas assez étant donné le nombre de cas qui continuent à émerger. « C’est pourquoi nous allons continuer à nous mobiliser, en particulier parce que les élèves harcelés sont souvent isolés et ont peur. Nous devons leur faciliter le signalement de ce dont ils sont victimes », a-t-il déclaré.
D’après les chiffres officiels, près d’un enfant sur dix serait concerné tandis que des études de plus en plus précises confirment les conséquences de ces périodes de brimades. Avec dans les cas les plus extrêmes des suicides. « Nous pouvons remporter ce combat contre le harcèlement en prenant nos responsabilités, en étant à l’écoute de nos enfants, en nous appuyant sur le travail remarquable que les associations font au quotidien, sur la mobilisation de l’éducation nationale, qui a profondément changé ces dernières années, et nous allons encore l’accélérer, c’est possible » a ajouté le président. Annonçant par la même occasion le renforcement des moyens pour dénoncer les déviances et des lieux d’écoutes comme les maisons pour adolescents.
S’il y avait déjà des mesures, le président de la République estime que ce n’est vraisemblablement pas assez étant donné le nombre de cas qui continuent à émerger. « C’est pourquoi nous allons continuer à nous mobiliser, en particulier parce que les élèves harcelés sont souvent isolés et ont peur. Nous devons leur faciliter le signalement de ce dont ils sont victimes », a-t-il déclaré.
D’après les chiffres officiels, près d’un enfant sur dix serait concerné tandis que des études de plus en plus précises confirment les conséquences de ces périodes de brimades. Avec dans les cas les plus extrêmes des suicides. « Nous pouvons remporter ce combat contre le harcèlement en prenant nos responsabilités, en étant à l’écoute de nos enfants, en nous appuyant sur le travail remarquable que les associations font au quotidien, sur la mobilisation de l’éducation nationale, qui a profondément changé ces dernières années, et nous allons encore l’accélérer, c’est possible » a ajouté le président. Annonçant par la même occasion le renforcement des moyens pour dénoncer les déviances et des lieux d’écoutes comme les maisons pour adolescents.