Source : Pixabay, image libre de droits.
Les bienfaits du végétal, et particulièrement du gazon, pourraient être une solution efficace et peu coûteuse aux « îlots de chaleur » qui ont vu le jour dans plusieurs villes durant cet été, le deuxième plus chaud après la canicule de 2013.
Un communiqué de l’Union Française des Semanciers souligne l’efficacité du végétal face à cette accumulation de chaleur par les pierres et le bitume, qui empêche, entre autres, l'air de se refroidir durant la nuit.
Un communiqué de l’Union Française des Semanciers souligne l’efficacité du végétal face à cette accumulation de chaleur par les pierres et le bitume, qui empêche, entre autres, l'air de se refroidir durant la nuit.
"Améliorer la qualité de l'air dans nos agglomérations"
Le communiqué explique que « grâce à la transpiration des plantes, les pelouses apportent la fraîcheur recherchée par les citadins. Elles présentent une température moyenne inférieure de 10°C par rapport à l'asphalte et dissipent ainsi les pointes de chaleur des zones urbaines. »
Ainsi, « le gazon apparait alors comme l'une des solutions pour lutter contre le réchauffement climatique et améliorer la qualité de l'air dans nos agglomérations. »
Par conséquent, « mieux respirer en ville est possible en implantant du gazon », car « 10 000 m² d'herbe captent le CO2 émis par une trentaine d'automobiles, mais aussi les poussières et saletés présentes dans l'air ambiant, trois à six fois plus efficacement qu'un sol nu. En outre, leurs racines abondantes fixent et améliorent la structure des sols, dont ils réduisent l'érosion par l'eau et le vent. Vis-à-vis de l'eau, ils agissent aussi comme un filtre naturel, et participent à la dépollution des eaux de pluie. »
C’est d’ailleurs pourquoi on trouve de plus en plus d’ « espaces enherbés, souvent agrémentés d'espèces florales », qui « sont de plus en plus fréquents en ville et présentent les mêmes avantages que les gazons. Ils ont également un rôle écologique et esthétique, et participent au maintien de la biodiversité et des pollinisateurs. »
En outre, « toutes ces surfaces végétales ont un impact positif sur le bien-être et la santé des habitants. Des études ont démontré que les odeurs et le contact de l'herbe ont des vertus apaisantes et diminuent l'anxiété et le stress liés à la vie urbaine. Les gazons, par exemple, constituent des aires de sports et de loisirs bénéfiques sur les plans physique et psychologique, et vitales dans notre société contemporaine. »
Ainsi, « le gazon apparait alors comme l'une des solutions pour lutter contre le réchauffement climatique et améliorer la qualité de l'air dans nos agglomérations. »
Par conséquent, « mieux respirer en ville est possible en implantant du gazon », car « 10 000 m² d'herbe captent le CO2 émis par une trentaine d'automobiles, mais aussi les poussières et saletés présentes dans l'air ambiant, trois à six fois plus efficacement qu'un sol nu. En outre, leurs racines abondantes fixent et améliorent la structure des sols, dont ils réduisent l'érosion par l'eau et le vent. Vis-à-vis de l'eau, ils agissent aussi comme un filtre naturel, et participent à la dépollution des eaux de pluie. »
C’est d’ailleurs pourquoi on trouve de plus en plus d’ « espaces enherbés, souvent agrémentés d'espèces florales », qui « sont de plus en plus fréquents en ville et présentent les mêmes avantages que les gazons. Ils ont également un rôle écologique et esthétique, et participent au maintien de la biodiversité et des pollinisateurs. »
En outre, « toutes ces surfaces végétales ont un impact positif sur le bien-être et la santé des habitants. Des études ont démontré que les odeurs et le contact de l'herbe ont des vertus apaisantes et diminuent l'anxiété et le stress liés à la vie urbaine. Les gazons, par exemple, constituent des aires de sports et de loisirs bénéfiques sur les plans physique et psychologique, et vitales dans notre société contemporaine. »