Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du site www.francetvinfo.fr explique l’impact du bilan carbone des consommateurs, et propose plusieurs pistes pour réduire cette empreinte carbone des assiettes.
Ainsi, l’article explique que « la viande par exemple, est connue pour avoir un bilan carbone assez lourd, certaines viandes auraient moins d'impact sur l'environnement. »
Le journaliste détaille qu’ « un poulet d'un kilo représente en sortie de ferme 2,5 kilos de gaz à effet de serre rejeté dans l'atmosphère. Si on prend des oeufs, l'impact est de 1,7 kilo de CO2. »
Ainsi, l’article explique que « la viande par exemple, est connue pour avoir un bilan carbone assez lourd, certaines viandes auraient moins d'impact sur l'environnement. »
Le journaliste détaille qu’ « un poulet d'un kilo représente en sortie de ferme 2,5 kilos de gaz à effet de serre rejeté dans l'atmosphère. Si on prend des oeufs, l'impact est de 1,7 kilo de CO2. »
Le transport en question
Mais les animaux « ne sont pas les seuls concernés », comme l’explique le journaliste qui prend comme exemple le cidre : « Avant sa mise en bouteille, sa production émet 80 grammes de gaz à effet de serre. »
D’ailleurs, « c'est bien plus pour les tomates qui poussent dans des serres qu'il faut chauffer. Une fois cueillies, ces tomates émettent 2,8 kilos de gaz à effet de serre, mais avant leur transport et leur conditionnement. »
Car « plus le voyage est long, plus l'empreinte carbone est importante. Un vol du Kenya par exemple, d'où viennent les haricots que l'on trouve cet hiver dans toutes les grandes surfaces, c'est 2,5 tonnes de CO2 qu'il faut ajouter. »
Lire l’intégralité de l’article de France Info ici.
D’ailleurs, « c'est bien plus pour les tomates qui poussent dans des serres qu'il faut chauffer. Une fois cueillies, ces tomates émettent 2,8 kilos de gaz à effet de serre, mais avant leur transport et leur conditionnement. »
Car « plus le voyage est long, plus l'empreinte carbone est importante. Un vol du Kenya par exemple, d'où viennent les haricots que l'on trouve cet hiver dans toutes les grandes surfaces, c'est 2,5 tonnes de CO2 qu'il faut ajouter. »
Lire l’intégralité de l’article de France Info ici.