Très attendu, le troisième Plan national Santé Environnement (PNSE) 2015-2019, vient d’être présenté par Ségolène Royal en Conseil des ministres. Comme les précédents plans, il vise à mettre en place des mesures de réduction des risques liés à l’environnement.
D’après les informations du journal Le Parisien, qui a pu consulter PNSE, il s’intéresse particulièrement aux nanomatériaux. S’appuyant sur les recommandations de l’Agence de sécurité sanitaire (Anses) publiées dans un rapport de mai 2014 qui préconisait que ces matériaux soient référencés et classés. « L’inquiétude est justifiée puisqu’on les trouve un peu partout : crème solaire, dentifrice, textile… et même alimentation ! Ainsi, le dioxyde de titane est utilisé comme colorant blanc (E171) dans certains yaourts » estime le site spécialisé pourquoidocteur.fr qui rappelle que l’Anses montrait du doigt « des retards de croissance, des malformations ou des anomalies dans le développement ou la reproduction chez des espèces modèles », mais aussi « des effets sur le système nerveux central, des phénomènes d’immunosuppression, des réactions d’hypersensibilité et d’allergie. » Alors que « leurs effets entre 1 et 100 nanomètres sont encore inconnus. »
D’après les informations du journal Le Parisien, qui a pu consulter PNSE, il s’intéresse particulièrement aux nanomatériaux. S’appuyant sur les recommandations de l’Agence de sécurité sanitaire (Anses) publiées dans un rapport de mai 2014 qui préconisait que ces matériaux soient référencés et classés. « L’inquiétude est justifiée puisqu’on les trouve un peu partout : crème solaire, dentifrice, textile… et même alimentation ! Ainsi, le dioxyde de titane est utilisé comme colorant blanc (E171) dans certains yaourts » estime le site spécialisé pourquoidocteur.fr qui rappelle que l’Anses montrait du doigt « des retards de croissance, des malformations ou des anomalies dans le développement ou la reproduction chez des espèces modèles », mais aussi « des effets sur le système nerveux central, des phénomènes d’immunosuppression, des réactions d’hypersensibilité et d’allergie. » Alors que « leurs effets entre 1 et 100 nanomètres sont encore inconnus. »
La guerre aux perturbateurs endocriniens
Le site spécialisé sur les questions de la santé, souligne le travail du troisième PNSE qui s’attaque aux perturbateurs endocriniens. « Le bisphénol A est interdit dans les produits destinés à l’alimentation des bébés… mais pas dans les jouets qu’ils peuvent pourtant porter à leur bouche. Le PNSE suggère donc d’instaurer des systèmes permettant de vérifier leur présence ou leur absence. La mise en oeuvre de la stratégie nationale est aussi présente dans la liste des actions; elle inclut notamment l’interdiction d’utiliser le bisphénol A dans les papiers thermiques (tickets de caisse, reçus bancaires…), prévue pour janvier 2015. »
Enfin, un volet complet du plan du ministère de l’Ecologie s’intéresse à la qualité de l’air et notamment à la lutte contre les allergisants avec « évoque le signalement des allergisants sur les fiches d’information des végétaux. »
Enfin, un volet complet du plan du ministère de l’Ecologie s’intéresse à la qualité de l’air et notamment à la lutte contre les allergisants avec « évoque le signalement des allergisants sur les fiches d’information des végétaux. »