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Accalmie avant la tempête. Alors que nous nous apprêtons à ranger les masques dans les transports dans quelques jours, nous savons tous qu’il y aura un prochain épisode. « En a-t-on fini avec le Covid-19 ? Pour y répondre, la deuxième édition du sommet mondial sur la maladie, qui doit trouver des solutions pour mettre un terme à l’épidémie et se préparer aux menaces futures liées à la santé, a lieu ce jeudi 12 mai. Cette rencontre en visioconférence sera coprésidée par les Etats-Unis, l’Allemagne – actuellement à la tête du G7 –, l’Indonésie – à la tête du G20 –, le Sénégal – à la tête de l’Union africaine – et le Belize – à la tête de la Communauté caribéenne (Caricom) » rapporte L’Obs.
Mais même si les chiffres ont chuté en France, l’épidémie continue à circuler légèrement jusqu’au prochain pic. Il suffit de regarde à nouveau vers les pays qui nous ont annoncé les derniers variant pour s’en convaincre. « Ailleurs, la situation appelle à la prudence. En trois semaines, en Afrique du Sud, le nombre de personnes testées positives chaque jour est passé de 1 200 à 6 500. Si ces chiffres restent en dessous – et très loin – du pic de la vague précédente (plus de 20 000 cas quotidiens mi-décembre), l’augmentation est très rapide. Dans le même temps, le taux de positivité a atteint 25 %, contre 6 % il y a un mois. A force de circuler, Omicron a développé des sous-lignages : en Afrique du Sud, les variants BA.4 et BA.5 sont responsables de cette cinquième vague. Selon Anne-Claude Crémieux, professeure en maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Louis de Paris, ces deux variants pourraient être jusqu’à 20 % plus transmissibles qu’Omicron, largement majoritaire en France, et échapper davantage à l’immunité » appuie le magazine.
Avant le prochain pic nous avons quelques semaines voire mois devant nous. Peut-être l’occasion, qui sait, de retenir les leçons des dernières vagues pour fixer des curseurs de restrictions liés aux niveaux d’hospitalisation.
Mais même si les chiffres ont chuté en France, l’épidémie continue à circuler légèrement jusqu’au prochain pic. Il suffit de regarde à nouveau vers les pays qui nous ont annoncé les derniers variant pour s’en convaincre. « Ailleurs, la situation appelle à la prudence. En trois semaines, en Afrique du Sud, le nombre de personnes testées positives chaque jour est passé de 1 200 à 6 500. Si ces chiffres restent en dessous – et très loin – du pic de la vague précédente (plus de 20 000 cas quotidiens mi-décembre), l’augmentation est très rapide. Dans le même temps, le taux de positivité a atteint 25 %, contre 6 % il y a un mois. A force de circuler, Omicron a développé des sous-lignages : en Afrique du Sud, les variants BA.4 et BA.5 sont responsables de cette cinquième vague. Selon Anne-Claude Crémieux, professeure en maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Louis de Paris, ces deux variants pourraient être jusqu’à 20 % plus transmissibles qu’Omicron, largement majoritaire en France, et échapper davantage à l’immunité » appuie le magazine.
Avant le prochain pic nous avons quelques semaines voire mois devant nous. Peut-être l’occasion, qui sait, de retenir les leçons des dernières vagues pour fixer des curseurs de restrictions liés aux niveaux d’hospitalisation.