Le rôle pivot de l'ingénierie dans le développement durable
L'ingénierie est le moteur du progrès économique et technologique, essentiel pour répondre aux défis mondiaux actuels, y compris ceux liés au changement climatique, à la santé, à l'alimentation et au logement. Elle joue un rôle central dans l'implémentation des nouvelles technologies et l'atteinte des Objectifs de développement durable (ODD) fixés par l'ONU. La profession d'ingénieur, cruciale pour répondre aux besoins humains fondamentaux, est aujourd'hui confrontée à une pénurie mondiale, malgré son importance. La rapide émergence de nouvelles technologies offre cependant une opportunité sans précédent de favoriser un développement inclusif et durable.
À travers la Journée mondiale de l'ingénierie pour le développement durable, célébrée chaque année le 4 mars, l'UNESCO appelle à une mobilisation accrue pour promouvoir les études et carrières en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM), particulièrement chez les jeunes et les femmes. Il est impératif de combattre la fuite des cerveaux et d'encourager l'innovation dans le domaine de l'ingénierie pour s'adapter aux défis globaux. Les décideurs politiques sont invités à reconnaître l'importance de l'ingénierie pour le développement durable et à agir en conséquence. Cette journée mondiale est donc une occasion de réfléchir aux solutions que l'ingénierie peut apporter pour un monde plus durable et de s'engager activement pour un avenir où personne n'est laissé pour compte.
À travers la Journée mondiale de l'ingénierie pour le développement durable, célébrée chaque année le 4 mars, l'UNESCO appelle à une mobilisation accrue pour promouvoir les études et carrières en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM), particulièrement chez les jeunes et les femmes. Il est impératif de combattre la fuite des cerveaux et d'encourager l'innovation dans le domaine de l'ingénierie pour s'adapter aux défis globaux. Les décideurs politiques sont invités à reconnaître l'importance de l'ingénierie pour le développement durable et à agir en conséquence. Cette journée mondiale est donc une occasion de réfléchir aux solutions que l'ingénierie peut apporter pour un monde plus durable et de s'engager activement pour un avenir où personne n'est laissé pour compte.
La formation d’ingénieurs, une mission de la plus haute importance
La formation et l'accréditation des ingénieurs sont cruciales pour garantir non seulement la quantité mais surtout la qualité des professionnels prêts à répondre aux défis du développement durable et aux besoins de l'économie mondiale. De nombreux pays produisent des diplômés en ingénierie qui manquent cependant des compétences essentielles requises pour exercer efficacement. L'urgence de ces besoins appelle à une révision approfondie des programmes d'ingénierie pour y intégrer des compétences nouvelles et pertinentes, telles que la gestion des effets du changement climatique et la satisfaction des aspirations sociales. Le système de développement du capital humain en ingénierie, essentiellement national, repose sur des établissements d'enseignement et des organismes d'accréditation qui assurent la qualité de la formation offerte aux futurs ingénieurs. La reconnaissance et l'accréditation professionnelles, souvent assurées par des institutions d'ingénierie professionnelles, garantissent le développement continu des compétences des ingénieurs.
Les systèmes d'enseignement et d'accréditation de l'ingénierie varient considérablement d'un pays à l'autre et même au sein des différentes disciplines d'ingénierie. Les disciplines traditionnelles telles que l'ingénierie civile et électrique sont généralement réglementées par les gouvernements pour des raisons de sécurité, tandis que de nouvelles disciplines, comme la nano-ingénierie, restent peu réglementées. Les accords internationaux visent à faciliter la reconnaissance mutuelle des qualifications en ingénierie, mais le paysage est fragmenté et complexe, ce qui rend difficile l'uniformisation des normes d'enseignement à l'échelle mondiale. Malgré ces efforts, un grand nombre de pays, surtout en Afrique, en Asie et en Amérique latine, reste en retard par rapport aux normes mondiales, faute d'organismes d'accréditation et de systèmes d'enseignement adéquats. Cette situation souligne le besoin urgent de renforcer les capacités d'enseignement de l'ingénierie, pour produire des ingénieurs qualifiés capables de répondre aux exigences contemporaines et de contribuer au développement durable de leurs pays.
Les systèmes d'enseignement et d'accréditation de l'ingénierie varient considérablement d'un pays à l'autre et même au sein des différentes disciplines d'ingénierie. Les disciplines traditionnelles telles que l'ingénierie civile et électrique sont généralement réglementées par les gouvernements pour des raisons de sécurité, tandis que de nouvelles disciplines, comme la nano-ingénierie, restent peu réglementées. Les accords internationaux visent à faciliter la reconnaissance mutuelle des qualifications en ingénierie, mais le paysage est fragmenté et complexe, ce qui rend difficile l'uniformisation des normes d'enseignement à l'échelle mondiale. Malgré ces efforts, un grand nombre de pays, surtout en Afrique, en Asie et en Amérique latine, reste en retard par rapport aux normes mondiales, faute d'organismes d'accréditation et de systèmes d'enseignement adéquats. Cette situation souligne le besoin urgent de renforcer les capacités d'enseignement de l'ingénierie, pour produire des ingénieurs qualifiés capables de répondre aux exigences contemporaines et de contribuer au développement durable de leurs pays.