Source : Pixabay, image libre de droits.
« En seulement deux décennies, les zones naturelles ont reculé de 3,3 millions de kilomètres carrés, soit deux fois la taille de l’Alaska. La cause ? L’Homme ! L’exploitation minière, agricole, forestière et la recherche de pétrole et de gaz ont mené à cette disparition. En persistant dans ce sens, il ne pourrait ne plus rien rester de naturel dans 100 ans », explique un article en ligne du journal Paris Match.
Il resterait au total 23% de zones naturelles sur la Terre : « Une nouvelle étude menée par plusieurs scientifiques, et parue dans la revue Current Biology, est tout, sauf rassurante », souligne l’article, citant les auteurs de cette étude : « La perte continue de zones sauvages est un problème d’importance mondiale avec des conséquences en grande partie irréversibles pour les humains et la nature. Si ces tendances se poursuivent, il pourrait ne rester que d’insignifiantes zones sauvages à l’échelle mondiale dans moins d’un siècle. »
L’article précise que « sur ces 3,3 millions de km2 perdus depuis 1993, un tiers se situe en Amazonie et 14% en Afrique centrale. Ce sont les endroits les plus touchées par la perte de leurs zones sauvages. »
Il resterait au total 23% de zones naturelles sur la Terre : « Une nouvelle étude menée par plusieurs scientifiques, et parue dans la revue Current Biology, est tout, sauf rassurante », souligne l’article, citant les auteurs de cette étude : « La perte continue de zones sauvages est un problème d’importance mondiale avec des conséquences en grande partie irréversibles pour les humains et la nature. Si ces tendances se poursuivent, il pourrait ne rester que d’insignifiantes zones sauvages à l’échelle mondiale dans moins d’un siècle. »
L’article précise que « sur ces 3,3 millions de km2 perdus depuis 1993, un tiers se situe en Amazonie et 14% en Afrique centrale. Ce sont les endroits les plus touchées par la perte de leurs zones sauvages. »
Des zones naturelles qui continuent à diminuer
Les scientifiques expliquent : « L’impact des populations autochtones sur leur environnement est limité car il n’y a pas de conversion à grande échelle de terres, d’activité industrielle, ou de développement des infrastructures. »
Ainsi, « en Amazonie, de vastes étendues de forêts sont toujours exploités malgré le gouvernement brésilien qui tente de ralentir la déforestation. Les zones naturelles y ont diminué de 1,8 millions de km2 à 1,3. Les forets humides d’Ucalayi, au Pérou, abritant plus de 600 espèces d’animaux et de primates ont été également durement touchées. »
L’article de Paris Match assure que « les chercheurs ont conclu qu’il restait 30,1 millions de kilomètres carrés de zones sauvages préservées au monde, soit moins d’un quart de la superficie totale de la planète. Elles sont situées dans les forêts boréales au Nord du Canada, dans les déserts australiens et les terres boisées de l’ouest, dans certaines régions d’Afrique centrale et dans les forêts des plaines d’Asie. »
Lire l’intégralité de l’article de Paris Match ici.
Ainsi, « en Amazonie, de vastes étendues de forêts sont toujours exploités malgré le gouvernement brésilien qui tente de ralentir la déforestation. Les zones naturelles y ont diminué de 1,8 millions de km2 à 1,3. Les forets humides d’Ucalayi, au Pérou, abritant plus de 600 espèces d’animaux et de primates ont été également durement touchées. »
L’article de Paris Match assure que « les chercheurs ont conclu qu’il restait 30,1 millions de kilomètres carrés de zones sauvages préservées au monde, soit moins d’un quart de la superficie totale de la planète. Elles sont situées dans les forêts boréales au Nord du Canada, dans les déserts australiens et les terres boisées de l’ouest, dans certaines régions d’Afrique centrale et dans les forêts des plaines d’Asie. »
Lire l’intégralité de l’article de Paris Match ici.