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Fissures, fondations déstabilisées ou structures déformées : la sécheresse fait des dégâts sur les maisons. Et avec la multiplication d’épisodes caniculaires, particulièrement dans des zones jusqu’ici épargnées, c’est un phénomène en plein boom. Une tendance que relève Le Figaro dans un article complet à ce sujet.
« En témoignent les nombreux récits de propriétaires désemparés face à la dégradation de leur bien. Façades fissurées, encadrement de portes déformés, dallages soulevés, fondations affaiblies… Les dégâts sont parfois tels que certaines maisons deviennent inhabitables. Le phénomène - dit de retrait-gonflement des argiles (RGA) - est le fruit de la rétractation des sols argileux quand il fait sec et de leur gonflement quand il pleut. Ce qui occasionne des mouvements de terrain de nature à déstabiliser les fondations des pavillons » explique le journal.
L’année 2022 ayant été caniculaire, les estimations du nombre de maisons concernées a explosé, relève Le Figaro : « Cette année, une centaine de milliers de maisons ont subi des dommages. Ce qui va coûter entre 1,6 et 2,4 milliards d’euros au régime particulier des catastrophes naturelles, a annoncé jeudi la fédération professionnelle France Assureurs. De quoi battre le précédent record de 2003 (2,12 milliards d’euros). Pis, avec le réchauffement climatique, plus de la moitié du parc de maisons individuelles (54 %) est susceptible d’être affecté par le problème, de façon plus ou moins importante.Plus grave, quelque 3,3 millions de maisons (16 % du parc) sont menacées de dégâts conséquentscar implantées «en zone à risque fort». Ces dernières se situent surtout dans le Sud-Ouest, mais aussi le Sud-Est, le centre et le nord de l’Hexagone. «La sécheresse est le péril le plus dynamique», note Florence Lustman, la présidente de France Assureurs. »
Les immeubles sont épargnés par ce phénomène qui touche les maisons individuelles en raison de leurs fondations peu profondes.
Lire l’article du Figaro en intégralité
« En témoignent les nombreux récits de propriétaires désemparés face à la dégradation de leur bien. Façades fissurées, encadrement de portes déformés, dallages soulevés, fondations affaiblies… Les dégâts sont parfois tels que certaines maisons deviennent inhabitables. Le phénomène - dit de retrait-gonflement des argiles (RGA) - est le fruit de la rétractation des sols argileux quand il fait sec et de leur gonflement quand il pleut. Ce qui occasionne des mouvements de terrain de nature à déstabiliser les fondations des pavillons » explique le journal.
L’année 2022 ayant été caniculaire, les estimations du nombre de maisons concernées a explosé, relève Le Figaro : « Cette année, une centaine de milliers de maisons ont subi des dommages. Ce qui va coûter entre 1,6 et 2,4 milliards d’euros au régime particulier des catastrophes naturelles, a annoncé jeudi la fédération professionnelle France Assureurs. De quoi battre le précédent record de 2003 (2,12 milliards d’euros). Pis, avec le réchauffement climatique, plus de la moitié du parc de maisons individuelles (54 %) est susceptible d’être affecté par le problème, de façon plus ou moins importante.Plus grave, quelque 3,3 millions de maisons (16 % du parc) sont menacées de dégâts conséquentscar implantées «en zone à risque fort». Ces dernières se situent surtout dans le Sud-Ouest, mais aussi le Sud-Est, le centre et le nord de l’Hexagone. «La sécheresse est le péril le plus dynamique», note Florence Lustman, la présidente de France Assureurs. »
Les immeubles sont épargnés par ce phénomène qui touche les maisons individuelles en raison de leurs fondations peu profondes.
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